Les bienfaits sur la santé d’une alimentation saine
Manger mieux pour vivre plus vieux
Plus de la moitié de la population québécoise ne parvient pas à manger au minimum cinq portions de fruits et de légumes par jour. Pourtant, c’est ce qui est recommandé depuis bon nombre d’années par Santé Canada. Une étude norvégienne récente pourrait peser dans la balance : elle montre qu’en changeant ses habitudes alimentaires, on peut gagner jusqu’à plus de 10 ans d’espérance de vie.
L’alimentation pour améliorer la santé des aînés
Vitamine A, oméga 3, polyphénols, aliments reconstitués ou enrichis en protéines, des chercheurs explorent de nouvelles pistes pour améliorer l’alimentation des personnes âgées et leur permettre de rester en bonne santé le plus longtemps possible.
Diversité et modération dans l’alimentation : la clé pour bien vieillir
Une nouvelle étude réalisée entièrement au Québec jette un éclairage sans précédent sur l’association entre l’alimentation et le vieillissement, et ouvre des pistes pour mieux comprendre comment ce qu’on mange peut contribuer au « bien vieillir ».
Une bonne alimentation au début de l’âge adulte protégerait les fonctions cognitives
Une alimentation bonne pour le cœur au début de l’âge adulte est associée à une meilleure performance cognitive en milieu de vie, selon une étude publiée par le journal médical Neurology.
Amélioration de l’alimentation : des changements graduels et à long terme
Il ne suffit pas d’adopter de saines habitudes alimentaires pour favoriser la santé cardiaque, préviennent des lignes directrices publiées récemment par l’influente American Heart Association : on doit aussi être en mesure de les incorporer à notre mode de vie de manière durable.
Nutrition : bien manger pour mieux diriger
Une alimentation saine et santé est tout aussi primordiale pour les entrepreneurs, les cadres et les gestionnaires que pour les athlètes de haut niveau. Dans le milieu des affaires, la prise de conscience est entamée, mais reste embryonnaire.
L’alimentation touche directement le succès de votre entreprise
Trois des plus grandes compagnies d’assurance au Canada ne couvrent pas les services de diététiste-nutritionniste, alors que près de 30 % des demandes d’absence de courte durée au travail sont dues à des problèmes de maux de ventre. De plus, une personne sur cinq en arrêt de travail pour une invalidité de longue durée est en congé pour des raisons liées à des problèmes de santé mentale. Or, saviez-vous que l’humeur, le stress, l’immunité et la santé digestive générale sont directement affectés par l’alimentation ? La diététiste-nutritionniste Andréeanne Martin fait le tour de la question.
L’orthorexie, ou l’obsession de bien manger
Si nous sommes tous conscients de l’importance de bien manger, chez certains cela finit par prendre la forme d’une véritable obsession qui commence à retenir l’attention des experts des troubles alimentaires.
Étude sur l’alimentation des Premières Nations : accès difficile à la nourriture traditionnelle
À travers le Canada, de trois à cinq fois plus d’autochtones que la population générale peinent à mettre assez de nourriture sur leur table. Pourtant plus saine et généralement préférée à la nourriture achetée en magasin (et souvent importée à grand coût), l’alimentation traditionnelle est trop peu souvent au menu, faute de promotion adéquate et d’écosystèmes suffisamment protégés.
Une alimentation riche en gras et en sucre semble nuire au sommeil
Une alimentation pauvre en fibres, mais riche en gras saturés et en sucre est associée à un sommeil de moins bonne qualité, selon une étude américaine.
Obésité : l’activité physique a plus d’effets que la bonne alimentation
Une étude canadienne publiée en 2011 montrait que l’augmentation de l’activité physique est beaucoup plus efficace pour prévenir l’obésité que la simple adoption d’une saine alimentation.
Comment bien manger : aliments sains, régime alimentaire équilibré
Alimentation et énergie : carburer aux (bons) aliments
Le fameux coup de barre de 15 h, la fringale de fin de soirée et l’abonnement aux collations pourraient être évités si l’on comprenait mieux comment s’alimenter. Dans une approche qui combine la non-restriction et l’éducation, Hubert Cormier met l’accent dans un ouvrage sur l’énergie et sa maximisation par l’alimentation.
Alimentation cétogène : manger gras pour maigrir
Dans le rayon des régimes à la mode, l’alimentation cétogène remporte certainement la palme. Adopté par nombre de célébrités et de sportifs, accompagné d’histoires de perte de poids impressionnante et ayant même des applications médicales reconnues, ce type d’alimentation faible en glucides et riche en gras soulève autant l’enthousiasme que la controverse. Tour d’horizon.
Jeûne intermittent : en santé sans manger
Trois repas par jour, entrecoupés de trois collations, sept jours sur sept. C’est ce qu’on nous a toujours conseillé de faire, c’est donc ce qui est le mieux pour la santé du corps. Mais s’il en était autrement, surtout lorsqu’on souffre d’embonpoint ou d’obésité ? Lumière sur le jeûne intermittent et ses possibles effets sur la santé, un sujet de recherche en pleine expansion.
Alimentation des tout-petits : quantité contre qualité
Pour la première fois au Québec, une étude en 2012 a exploré ce que manger sainement signifie pour les parents d’enfants d’âge préscolaire. Selon l’enquête menée auprès de 1257 familles, deux visions s’opposent : des parents font rimer bien manger avec qualité, d’autres avec quantité.
De la culture des diètes à l’alimentation intuitive : faire la paix avec la nourriture
Karine Gravel part de la prémisse qu’à moins d’avoir une affection particulière, chacun est pourvu d’une intelligence et des compétences pour évaluer les aliments dont il a besoin ou envie, et à quel moment. « Il est temps de faire de son corps et de la nourriture des alliés », estime l’autrice du livre De la culture des diètes à l’alimentation intuitive, qui répond à un discours culpabilisant et restrictif par l’indulgence et la bienveillance envers soi.
Changer son alimentation : et si on y allait progressivement ?
Autrefois ergothérapeute en santé mentale, Caroline Huard, alias Loounie, prône une approche bienveillante envers ceux qui veulent faire un virage alimentaire, qu’il soit partiel ou complet. Il est important d’y aller à son rythme, dit-elle, en fonction de la réalité propre à chacun. Cette façon de faire, selon elle, mènera à des changements plus durables pour la majorité des gens. Lisez ses conseils.
Boire de l’eau contribue à avoir une saine alimentation
Il est possible de contrôler son gain de poids ou de réduire sa consommation de sucre, de sel et de gras saturés en buvant un peu plus d’eau chaque jour, démontre une étude américaine.
TDAH – 21 jours de menus : mieux nourrir son cerveau
Manger pour mieux nourrir son cerveau. C’est ce que propose la nutritionniste Elisabeth Cerqueira dans TDAH – 21 jours de menus, qui vient de paraître chez Modus Vivendi. Mère de trois enfants, dont l’une présente un TDAH, elle y propose des recommandations ainsi que 55 recettes avec des éléments nutritifs pour vous aider à la préparation des repas.
En alimentation, local n’est pas synonyme de santé, prévient la Coalition poids
Alors que la pandémie a galvanisé l’intérêt des Québécois pour l’achat local, la Coalition québécoise sur la problématique du poids lève un drapeau rouge. Un aliment d’ici n’est pas nécessairement synonyme de santé.
Alimentation et immigration au Canada : révolution dans l’assiette
Quoi manger quand on ne reconnaît pas les aliments et les ingrédients à l’épicerie ? Quoi cuisiner quand on ne dispose ni du même équipement ni du même temps pour y arriver ? Prendre pays implique souvent des bouleversements majeurs sur le plan alimentaire. Notre journaliste s’est mise à table pour en discuter avec un groupe d’immigrants.
Dans l’assiette des Canadiens
Que mangent les Canadiens ? Plusieurs indices permettent de savoir ce qu’ils mettent dans leur assiette. L’un d’eux, mesuré par Statistique Canada, évalue la « disponibilité » des aliments pour chaque Canadien. Coup d’œil sur les plus récentes données.
De moins en moins d’additifs dans nos assiettes
La pression des consommateurs semble avoir un effet sur le contenu de leur assiette : l’utilisation des additifs dans les aliments industriels a globalement diminué en 10 ans, selon un rapport.
Soya, bon ou mauvais ?
« Les protéines de soya aident à réduire le cholestérol. » Preuves scientifiques à l’appui, Santé Canada a autorisé en 2015 les fabricants à inscrire cette allégation santé sur les étiquettes d’aliments contenant au moins 6 g de protéines de soya par portion. Des textes alarmistes, qui circulent abondamment dans les réseaux sociaux, mettent pourtant en garde contre cette légumineuse. Qui croire ?
Alimentation et budget
Prévisions en alimentation 2024 : davantage de restants au menu
S’il fallait une preuve supplémentaire que les consommateurs sont préoccupés par la hausse du coût des aliments, une nouvelle étude conclut qu’à l’épicerie, la course aux aubaines continue d’être une grande motivation pour la plupart des gens. Mais cette hausse motive aussi la réduction du gaspillage alimentaire pour une grande partie de la population qui ne veut tout simplement plus mettre ses aliments – et son argent – à la poubelle.
D’importants défis attendus en 2024 après une année difficile
Flambée du prix panier d’épicerie, achalandage record dans les banques alimentaires, explosion des coûts pour les agriculteurs et transformateurs, conditions météorologiques difficiles pour les récoltes, remplir l’assiette des ménages aura été une mission particulièrement ardue en 2023.
Stratégies zéro gaspillage
Avant de déposer un aliment dans la poubelle ou dans le bac à compostage, il y a lieu de s’interroger : « Est-ce vraiment un déchet ? », suggère la spécialiste du zéro gaspillage Florence-Léa Siry. Dans son livre, 1, 2, 3 vies – Recettes zéro gaspi, l’auteure, conférencière et chroniqueuse présente différentes tactiques pour mettre en valeur les rebuts, les aliments moches et tous les restes.
Le bio pâtit de l’inflation
Les consommateurs délaissent le bio et certaines entreprises aussi, du moins en partie. Pour rejoindre une plus large clientèle, Prana, spécialisée dans les granolas et collations santé, a décidé d’élaborer des mélanges de noix sains, non certifiés bios – contrairement à son offre habituelle –, destinés au marché des enseignes à bas prix comme Maxi ou Super C.
Le coût d’une saine alimentation
À la maison comme à l’école, l’enseignement d’une saine alimentation est une des étapes cruciales pouvant aider à prévenir le gain de poids excessif chez les enfants et le développement de maladies chroniques plus tard. En insistant sur la nécessité de consommer des légumes frais, des fruits, des noix, des grains entiers, des légumineuses et des aliments non raffinés, il est possible d’influencer les préférences alimentaires des enfants. De plus, il est intéressant de constater que ces aliments sont avantageux d’un point de vue économique.
Inflation alimentaire : pour du vrai fromage dans le macaroni au fromage
Programme universel d’alimentation scolaire : Québec « aurait les moyens de financer ça », selon une étude
Chaque jour, des enfants vont à l’école sans avoir mangé à leur faim. Pourtant, le Québec aurait les moyens de financer un programme universel d’alimentation scolaire, avance aujourd’hui l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS). Coût annuel estimé : 1,7 milliard.
Végétarisme et véganisme
L’alimentation végétale, une bouchée à la fois
Sur un sujet très clivant, Martin Quirion est celui qui cherche à voir les deux côtés de la médaille. Plongé, d’abord un peu malgré lui, dans les discours opposant véganisme et carnisme, il a voulu s’en remettre à la science pour séparer le bon grain de l’ivraie. Sept ans de travail plus tard, il signe Végécurieux, un ouvrage très documenté qui entraîne une réflexion profonde sur notre alimentation.
La PVT, une protéine vraiment top !
« Le prix des aliments augmente, alors on cherche tous des façons de faire maigrir notre facture d’épicerie, constate la nutritionniste Julie DesGroseilliers. Comme on ne peut pas passer des heures dans la cuisine, on veut des solutions rapides. Et la grande majorité des gens souhaite manger moins de viande. La PVT répond à tous ces critères : c’est peu cher, vite préparé et c’est une protéine d’origine végétale. »
Le seitan, roi des protéines végétales
« Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est le seitan, c’est à base de farine de gluten », explique Nicolas Leduc-Savard, nutritionniste du sport et coauteur avec Xavier Desharnais de Recettes véganes pour gens actifs, publié chez KO Éditions. Un bon apport calorique pour une bonne santé et pour combler ses besoins nutritionnels.
Alimentation et environnement
Alimentation responsable : une bouchée pour la planète
Manger est une source de plaisir et de… gaz à effet de serre. Comment verdir son assiette ? Voici huit conseils et la réponse à la question complexe : vaut-il mieux manger bio ou local ?
Des insectes « maison » pour l’alimentation
En ces temps d’isolement, certains cherchent à augmenter leur autonomie alimentaire. Si faire pousser ses propres légumes est relativement simple, même à l’intérieur, qu’en est-il des protéines ? Une piste de solution : les insectes comestibles !
À quel lait se vouer ?
Alors que les boissons végétales ou laits végétaux connaissent une popularité sans précédent, notre journaliste a tenté de répondre à l’épineuse question : quelle est la meilleure boisson végétale pour l’environnement… et pour vous ?
L’alimentation pourrait ajouter un degré à la température de la planète d’ici 2100
Les émissions de gaz à effet de serre liées à la façon dont les humains se nourrissent pourraient à elles seules ajouter près d’un degré au réchauffement de la planète d’ici 2100, selon une nouvelle étude.
L’alimentation végane émet 75 % moins de GES
Les personnes qui décident de s’abstenir de consommer des produits d’origine animale comme de la viande, des produits laitiers ou des œufs réduisent de 75 % les gaz à effet de serre provenant de leur assiette, selon des données recueillies auprès d’un échantillon de 55 000 personnes.
Changements climatiques : quel avenir pour notre alimentation ?
Le réchauffement de la planète menace notre assiette. Marianne Landzettel, journaliste d’origine allemande spécialisée en agriculture, et Wilfried Bommert, porte-parole du World Food Institute de Berlin, ont parcouru la planète pour comprendre comment les changements climatiques menacent notre alimentation – et quelles sont les solutions de rechange.
En complément : un guide produit par le gouvernement du Canada
Guide alimentaire canadien
Informez-vous sur les recommandations fédérales concernant le contenu de votre assiette.