
L’idée n’est pas nouvelle. Depuis que les Fonds négociés en Bourse (FNB) ont commencé à vraiment gagner en popularité, bien des observateurs demandent s’ils ne vont pas un jour supplanter les fonds communs. Qu’en est-il ?
L’idée n’est pas nouvelle. Depuis que les Fonds négociés en Bourse (FNB) ont commencé à vraiment gagner en popularité, bien des observateurs demandent s’ils ne vont pas un jour supplanter les fonds communs. Qu’en est-il ?
Il y a des tonnes de fonds communs de placement de toutes sortes sur le marché. Voici quatre questions de base à se poser avant d’acheter des parts dans un fonds.
Les bonnes idées pour lancer une entreprise ne manquent pas dans les écoles et facultés de génie. Si bien que de plus en plus, elles offrent de l’accompagnement pour leurs étudiants motivés à se lancer en affaires.
Actuellement, 13 % de l’ensemble des membres de l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) ont été formés à l’extérieur de la province, soit 8850 personnes. Le taux de chômage chez ces professionnels formés à l’étranger est environ le double du taux de chômage observé chez les membres qui ont été formés au Québec, selon l’OIQ. Pour la présidente de l’Ordre, Kathy Baig, il reste encore beaucoup de travail à faire pour favoriser la diversité dans le domaine. Survol.
Alors que la pandémie de COVID-19 a amené le Québec à vouloir augmenter son autonomie alimentaire, ChrysaLabs lance sur le marché une sonde portative pour analyser le sol en temps réel. En sachant précisément ce dont le sol a besoin pour donner un meilleur rendement, il est possible notamment d’optimiser l’utilisation d’engrais. L’appétit pour cette nouvelle technologie est déjà nord-américain.
À 67 ans, Amine Kamen a une longue feuille de route derrière lui. Titulaire de deux doctorats en génie, professeur à l’Université McGill, chercheur émérite du Conseil national de recherches du Canada, il a aussi travaillé à l’élaboration d’une dizaine de vaccins. Aujourd’hui, s’il rêve d’un repos mérité, une petite voix intérieure lui dicte de continuer pour transmettre ses connaissances. Survol d’un parcours peu commun.
Anne Gadbois et Maxime Alain-Lachance ont étudié le génie mécanique avec passion à l’Université de Sherbrooke. Jamais ils n’ont douté de leur choix de carrière. Pourtant, quand la pandémie a frappé, les finissants, qui forment un couple dans la vie, ont décidé de se réorienter en agriculture.
Peu connu, le génie de la santé est un immense secteur qui recoupe une multitude de spécialités. La majorité des ingénieurs qui y travaillent ont d’ailleurs une formation dans un domaine aussi varié que le génie mécanique, le génie électrique et le génie chimique, entre autres. Survol.
Hygie Canada avait depuis plusieurs années l’objectif de fabriquer ici ses produits destinés à la gestion des liquides biologiques. Le chemin a été semé d’embûches, mais l’entreprise de Drummondville y est parvenue grâce à l’apport d’un ingénieur mécanique, Éric Pelletier.
Œuvrer dans le secteur pharmaceutique, Joël Sirois, PDG de BioIntelligence Technologies, y pensait depuis longtemps. Mais pour une PME comme la sienne, la marche était trop haute. La pandémie de COVID-19 a cependant changé les choses. Des entreprises pharmaceutiques ont récemment cogné à sa porte afin de profiter de son expertise. Survol d’une nouvelle donne pour cet ingénieur chimique et son équipe.
Malgré tous les impacts économiques qu’a pu causer la COVID-19, il semble bien que les capitaux nécessaires au fonctionnement de l’économie ne manqueront pas, et que le financement à court terme a été et demeurera disponible, bien que peut-être plus coûteux pour certains.
Potloc, entreprise spécialisée dans les sondages personnalisés sur les réseaux sociaux, a réussi en pleine pandémie à amasser 20 millions de dollars en capital de risque auprès de divers partenaires. De l’argent qui lui servira à poursuivre sa croissance, au développement de sa technologie et à l’embauche de nouveaux employés. Son prochain défi : l’ouverture d’un quatrième bureau à New York.
Bien que la pandémie persiste et que certains experts croient même que des variants causeront une troisième vague l’automne prochain, chez Investissement Québec, on croit que l’opération de sauvetage des PME est une réussite, et on est déjà en mode relance, assure le président-directeur général de l’organisme, Guy Leblanc.
Un refus de financement peut mener à la fin abrupte d’un rêve entrepreneurial ou miner une croissance éventuelle. Comment éviter un « non » et augmenter ses chances d’obtenir un « oui » ? Alexandre Sieber, premier vice-président au financement corporatif à Investissement Québec, et Marouane Arif, vice-président au financement pour la couronne nord de Montréal à la Banque de développement du Canada (BDC), offrent quelques trucs du métier.
Fersten Mondial, spécialisée dans les vêtements corporatifs et les produits promotionnels, a vu ses activités s’arrêter brusquement avec l’éclatement de la pandémie. Mais rapidement, elle a su saisir une occasion d’affaires grâce aux contacts de son président, Mitchell Fersten. L’entreprise a obtenu une commande importante de masques KN95 pour une agence gouvernementale américaine. Mais encore fallait-il obtenir des fonds pour prendre ce virage. Parcours.
Le CELI existe maintenant depuis une douzaine d’années, mais ce ne sont pas tous les Canadiens qui en profitent. Surtout, nombre d’entre eux font preuve d’une méconnaissance quant à cet outil qui peut les aider à accumuler de façon efficace leur capital en vue de la retraite. État de la situation en quatre chiffres.