Actualités livres En continu

Nous nous verrons en août Un García Márquez posthume

Quelques années avant de mourir, en 2014, Gabriel García Márquez a demandé à ses deux fils de ne pas publier le roman sur lequel il travaillait, Nous nous verrons en août. Douze ans après la disparition du Nobel colombien, ils lui ont désobéi. Explications.

La romancière Nancy Huston, « sœur » des détenus

(Dieulefit) « Je suis leur sœur » : l’auteure franco-canadienne Nancy Huston évoque avec l’AFP son engagement auprès des détenus, « destins cabossés comme ceux des artistes » et ses rencontres dans les prisons françaises, « parmi les pires » des pays développés.

Krummavísur Un voyage dépaysant en Islande

Avec son personnage de Kornelius Jakobsson, l’écrivain français Ian Manook (qui est derrière Yeruldelgger et d’autres romans écrits sous divers pseudonymes) nous entraîne toujours dans des histoires un peu loufoques où il nous arrive parfois de nous demander sur quelle drôle de planète on a atterri.

Sur la table de chevet de Geneviève Tardif

Le compte à rebours vers les Jeux olympiques de Paris est entamé et la chroniqueuse sportive Geneviève Tardif se prépare à animer l’émission Bonne nuit Paris, dès le 26 juillet sur ICI Télé, puis, à partir du 28 août, pour les Jeux paralympiques. Également coanimatrice de l’émission Sportives, point final ! (sur Tou.tv et OHdio), elle nous confie ses lectures du moment.

Pleurer au supermarché  Le best-seller à lire cet été

C’est un livre irrésistible qui parle de deuil, d’identité et de relations mère-fille compliquées. Et qui a dépassé toutes les attentes de l’autrice, Michelle Zauner, chanteuse et guitariste du groupe indie pop américain Japanese Breakfast. Incursion au cœur d’un phénomène littéraire dont la traduction française, Pleurer au supermarché, est arrivée tout récemment en librairie.

Mystères du passé et énigmes à quatre mains

Ils écrivent à deux depuis près de 20 ans, à raison de plus d’un roman par an. Des polars historiques et ésotériques qui cumulent les trois millions de lecteurs à ce jour et sont traduits dans plus d’une quinzaine de langues.

Désirer la violence Culture (du viol) populaire

Du prince soi-disant charmant qui « vole » un baiser à sa princesse au « bad boy » manipulateur, voire carrément violeur, la culture populaire regorge de personnages aussi douteux que toxiques, loin d’être innocents. La journaliste française Chloé Thibaud signe un essai costaud sur la question, parce que non, ça n’est pas « juste de la fiction ».