
Budget fédéral 2023 Un budget signé… Joe Biden
Oh bien sûr, le budget déposé mardi à Ottawa porte la signature de la ministre des Finances Chrystia Freeland. Mais on voit l’ombre de Joe Biden dans le document pourtant intitulé « Un plan canadien ».
Oh bien sûr, le budget déposé mardi à Ottawa porte la signature de la ministre des Finances Chrystia Freeland. Mais on voit l’ombre de Joe Biden dans le document pourtant intitulé « Un plan canadien ».
Après deux heures, les 125 000 laissez-passer d’admission générale du Festival d’été de Québec (FEQ) étaient déjà tous vendus. Or, une quantité importante de ces laissez-passer se trouvent désormais à des prix exorbitants et malhonnêtes sur des sites de revente tels que Marketplace, billet.ca et 514-billets.com. Des sanctions ou des amendes devraient être entreprises pour contrer ces usurpateurs.
La visite du président Joe Biden à Ottawa a suscité de nombreuses comparaisons entre les deux pays. Par l’entremise de la Loi sur la réduction de l’inflation, le gouvernement américain investit massivement dans l’action climatique. Pourquoi ? Parce que les États-Unis souhaitent fournir une énergie abordable et rendre justice aux communautés laissées pour compte depuis trop longtemps. En accélérant le déclin de la courbe de coûts et en renforçant les chaînes d’approvisionnement, notre voisin du Sud contribue à rendre les technologies vertes encore plus compétitives.
Si aucune action structurante n’est posée, bien des citoyennes et des citoyens continueront d’être privés d’un accès aux soins de santé auxquels ils ont droit.
La situation du Quartier latin et de l’institution qui est en son cœur, l’Université du Québec à Montréal (UQAM), fait l’objet de nombreuses préoccupations. Pendant que le secteur Berri-UQAM renvoie l’image d’un quartier décrépit et fracturé – avec ses vitrines fermées, un trafic de drogue au grand jour et une itinérance répandue –, on apprend notamment que le Plan québécois d’infrastructures (PQI) du gouvernement du Québec sur 10 ans consacre 28 500 $ par étudiant en faveur de l’Université McGill, laissant à l’UQAM des miettes, soit 357 $ par tête de pipe.
J’ai le cœur brisé : le gouvernement canadien a annoncé sans aucun avertissement la fermeture du chemin Roxham par lequel je suis passée, mais aussi l’ensemble de la frontière canadienne aux demandeurs d’asile. J’imagine les centaines, ou même les milliers de migrants qui vont souffrir dans les prochains mois.
Ma mère est en résidence depuis sept ans. De moins en moins autonome, elle est à l’étage de soins depuis deux ans. Elle en a 95 et est atteinte d’alzheimer. Incapable de s’occuper d’elle-même, elle nécessite des soins de plus en plus élaborés. Toutefois, elle s’alimente, reconnaît son monde. Mais elle a perdu tout contact avec la réalité.
Le statu quo en santé n’est plus tenable. On a besoin d’une réforme, une vraie. Pas d’une « troisième guerre mondiale », comme le craint à juste titre l’ancien ministre de la Santé Gaétan Barrette.
La lettre de la mairesse de Saint-Lazare publiée le 25 mars sur la gestion municipale et les sources de revenus des villes n’a pas manqué de faire réagir nos lecteurs, dont plusieurs se questionnent sur la multiplication des services municipaux. Voici un aperçu des courriels reçus.
Dans les derniers jours, plusieurs signes indéniables nous démontrent que le printemps est arrivé : la neige fond, les fleurs bourgeonnent et le ministère des Finances du Québec a déposé son budget. Dans le milieu communautaire, l’espoir d’un temps plus doux était au rendez-vous.
Les prochaines semaines seront cruciales pour les gouvernements du Québec et du Canada et la transition verte. Avec des investissements de 370 milliards de dollars américains dans l’économie verte d’ici 2032, l’Inflation Reduction Act (IRA) vise non seulement à accélérer la transition énergétique, mais aussi à rapatrier certaines chaînes d’approvisionnement stratégiques aux États-Unis.
Pourquoi autant d’indignation de la part du milieu communautaire à la suite du budget provincial déposé la semaine dernière ? Simplement parce qu’il refuse de laisser tomber des personnes comme Stéphane* (et par le fait même, des milliers d’autres Québécois et Québécoises).
Les auteurs s’adressent au premier ministre François Legault et aux ministres Christian Dubé, Sonia LeBel et Eric Girard
Le récent passage à Ottawa de Joe Biden marquait le 100e anniversaire de la première visite officielle d’un président américain au Canada. Lors de ce que son administration avait appelé le voyage de la compréhension, le président Warren Harding s’était arrêté à Vancouver en juillet 1923, la seule ville canadienne dans son itinéraire.
GHB, ecstasy liquide, drogue du viol… trois noms courants pour désigner le gamma-hydroxybutyrate, un dépresseur qui engourdit le cerveau et ralentit le fonctionnement du corps. Quand il est consommé en toute connaissance de cause, on le classe dans la catégorie des drogues dites « récréatives », avec les risques que cela comporte. Mais quand il est administré à une personne sans son consentement, il peut devenir encore plus dangereux. Comme le GHB est inodore et incolore, la victime – bien souvent une femme – réalise trop tard qu’elle a été intoxiquée contre son gré.
Le 23 mars 2017, l’Assemblée nationale adoptait le projet de loi 102, une importante réforme de la Loi sur la qualité de l’environnement qui devait entrer en vigueur un an plus tard, soit le 23 mars 2018, il y a donc cinq ans. Ce qui fut fait. À l’exception d’une seule disposition, l’article 118.5 portant sur la création du registre public d’accès à l’information environnementale qui, selon la loi adoptée, doit entrer en vigueur « à une date qui sera fixée par décret du gouvernement ».
Nos lecteurs attendent avec appréhension le projet de loi sur le système de santé du ministre Christian Dubé. On se questionne notamment sur la nécessité de recruter des « top guns » du secteur privé pour diriger la future agence Santé Québec. Voici un aperçu des réponses à notre appel à tous de cette semaine.
La dernière semaine a été chargée émotivement. Nous avons été touchés par les évènements tragiques d’Amqui et de Montréal et sommes de tout cœur avec les personnes affectées par ces gestes inexcusables.
Le 22 février dernier, nous apprenions qu’un projet de salon de jeux au Centre Bell était en pourparlers entre Loto-Québec et le Groupe CH, propriétaire du club de hockey Canadien. Pour les Tables de quartier ayant pour mission de contribuer à l’amélioration des conditions de vie dans les quartiers autour du site envisagé, ce projet suscite de vives inquiétudes.