Un K.-O. de M. Charest

Un K.-O. de M. Charest

C'est ce que nous appelons un K.-O. Le don illégal d'une mineure à Mme Marois. Le choix de la rue. Aucune redevance à la mine Raglan. Surtout, le fait qu'elle n'a pu répondre à la dernière question de Pierre Bruneau sur la question la plus importante de sa carrière, le référendum. Plusieurs Québécois doivent, comme moi, avoir changé d'idée ce soir.

Pierre A. Lacoste

Un changement s'impose

Mme Marois est une grande dame! Elle est prête et mérite qu'on lui fasse confiance. Ça fait neuf ans que Charest est là et ne fait que blâmer le PQ pour des décisions qui datent de plus de 10 ans. Assez, c'est assez! Nous avons besoin de changement.

Isabelle Coutu, Laval

Faiblesses de Mme Marois

Le gagnant est M. Charest.  Il a exposé les faiblesses de Mme Marois: pas de plan économique,  zéro leadership, référundum forcé sur la population québécoise, gouvernance de la rue, etc.

Vahak Hezaran

Classe exemplaire

Sans équivoque Mme Marois, d'un calme et d'une classe exemplaire. Bravo, Mme Marois.

Eric Jasmin, Montréal

Plus incisif

M. Charest a été plus incisif, plus précis, autant en attaque que dans ses répliques. Marois était fatiguée à la fin, cherchait ses mots lorsque questionnée sur le référendum. M. Charest a facilement gagné.

Marc Fortier

Manque d'intégrité

Je ne crois pas en Pauline Marois qui n'a jamais répondu à la question de Pierre Bruneau, si oui ou non, il y aurait un référendum.  Pour ce qui est de son intégrité, on repassera.Le Québec n'a pas besoin de quelqu'un comme elle.  Tout ce qu'elle veut, c'est le pouvoir. Selon elle, elle écoutera tout et chacun et elle leur donnera tout ce qu'ils demanderont. Ce sera une autre réalité, si elle est au pouvoir. Je suis d'accord avec M. Charest en ce qui concerne l'avenir du Québec.  En ces temps difficiles, nous n'avons pas besoin de dépenser notre argent pour un autre référendum.

Hélène Perreault

Inspirée et confiante

Pauline Marois a «mangé» M. Charest, elle le déteste tellement que l'inspiration et la confiance lui sortait de la bouche. M. Charest a passé la majeure partie du débat à se défendre et a attaqué avec de vieilles histoires passées et expiées. Ça va être beau avec François Legault demain, M. Charest va ramer dans la «garnotte» pas à peu près.

Yves Corbeil

M. Charest, malheureusement

Je crois que Jean Charest a gagné, et de loin, le débat de ce soir! Malheureusement!

Alain Claude Bouchard

Encore M. Charest

C'est encore M. Charest qui a triomphé contre Mme Marois lors de cet autre débat.  Il a bien performé.  Il a été respectueux et courageux. Manifestement, l'économie est la priorité de Charest et manifestement une question parmi d'autres pour Mme Marois.  On ne peut ignorer l'emploi.  On peut par contre laisser de côté la souveraineté. Le choix est assez clair! Non?

Anne-Marie Roy

L'homme de la situation

Jean Charest a finalement mis les points sur les i face aux multiples atteintes à sa réputation et aux tentatives de salissage. Dans le contexte économique mondial actuel, son bilan économique est solide. Il me semble toujours être l'homme de la situation pour le Québec. Pauline Marois ne veut pas donner ses vraies intentions.

Alexandre Lefebvre

Mme Marois évasive

Jean Charest a bien démontré qu'il est un leader à la hauteur et Pauline Marois non.  J'ai calculé qu'à 18 reprises, Mme Marois n'a pas répondu au questions, alors que M. Charest a répondu à toutes les questions!

Richard A. Bourque

Débat désagréable

Quel débat désagréable! On assiste à une chicane autour d'une table entre des opinions divergentes, alors que chacun croit qu'il a le monopole de la vérité. Le plus dérangeant est de voir Jean Charest hausser le ton et de surcroît manipuler les faits à son avantage en prenant les auditeurs pour des imbéciles. Il est arrogant, parle avec condescendance et ne répond pas aux questions, en plus de couper la parole. Néanmoins, Pauline Marois a réussi à ne pas embarquer dans son jeu et à maintenir plus de respect dans ses propos et son attitude. A-t-elle réussi sa présence au débat ? Pas si sûr, car ses idées se sont peu démarquées. Quand pourra-t-on voir une campagne électorale basée sur des questions d'idées et non sur des insultes et des messages vides ?  



Marie-Noëlle L'Espérance, Montréal



Mme Marois déstabilisée

Mme Marois est incapable de répondre à une question aussi claire que: OUI ou NON ! Même Pierre Bruneau n'en revenait pas. Elle a été déstabilisée par M. Charest qui était en pleine possession de ses moyens et qui contrôlait la fin du débat. S'il y a un référendum éventuellement, je ne serai pas capable non plus de répondre par OUI ou NON. Jean Charest a remonté dans mon estime ce soir, et Mme Marois vient de bousiller sa campagne.

Chantal d'Anjou, Granby

Modération complaisante

Un premier ministre sur la défensive, vociférant comme un roquet avec la queue coincée dans la porte de ses magouilles, et une candidate qui garde le ton posé et analytique tel qu'il sied à un premier ministre, voilà ce que je retiens de ce débat. M. Charest n'a pas répondu de façon claire aux questions de Mme Marois tout au long de la soirée, préférant plutôt une fuite vers l'avant afin de tenter de noyer le poisson, tout à fait indigne. Mme Marois aurait dû par contre se montrer un peu plus incisive devant un adversaire dans les câbles. La modération du débat, déjà complaisante à Radio-Canada dimanche soir était carrément déficiente ce soir, laissant le champ libre a un candidat en voie de se faire balayer dans son comté tenter de s'en tirer avec des entourloupes et des pas de deux. Ce n'est pas un concours de ballet, M. Charest. Mme Marois à répondu de façon claire, posée et bien senties, malgré les charges intempestives de M. Charest, et ce dernier est apparu faible et ne fournissant pas de réponses aux multiples scandales: garderies, Tomassi, construction, UPAC, filatures interrompues de la SQ suite a ses appels, etc. etc. Et sa mauvaise foi sur la défense du fait français à Montréal, rien de moins qu'une trahison!

Frédéric Bourbeau

M. Charest agressif

M. Charest est apparu agressif de par sa gestuelle et son regard acrimonieux. Mme Marois était en contrôle, calme et avec l'allure d'une chef d'État. 

Stéphane Chagnon, Montréal

La cassette de Mme Marois

M. Charest sort vainqueur.  A mon avis, il est beaucoup plus en mode dialogue.  Il répond aux questions. Mme Marois, elle,  semble avoir une cassette qui part, s'arrête et repart sans que l'on puisse voir la lueur d'une écoute minimale.  Elle est incapable de reconnaître aucun responsabilité sur les décisions qu'elle a prises antérieurement et qui ont mis la province dans une mauvaise situation économique. On s'en souvient, nous, les contribuables.

Desneiges Godin