Des arrêts d'autobus sont annulés temporairement depuis plus d'un an sur l'avenue Laurier, entre les rues Berri et Brébeuf, coins Resther, De Mentana et DeLaRoche. En effet, depuis que les autobus 14 et 47 ont été déroutés à cause des changements de circulation sur le Plateau (la 14 sur le boul. Saint-Joseph et la 47 sur la rue Saint-Grégoire), l'interdiction de stationnement devant ces arrêts limite inutilement le stationnement pour les résidents. De plus, j'ai surpris à plusieurs reprises des gens attendant le bus où il n'en passe plus depuis le printemps 2011. J'en ai renseigné plusieurs. Souvent la STM met des panneaux de carton annonçant le changement, mais des plaisantins ou le vent les enlèvent. En consultant le service Azimut de la STM sur son site internet, on voit même que ces changements n'apparaissent pas sur les cartes et les trajets suggérés. Autant j'approuve les mesures limitant la circulation et favorisant le transport en commun, autant je désapprouve les limites inutiles au stationnement.

Des arrêts d'autobus sont annulés temporairement depuis plus d'un an sur l'avenue Laurier, entre les rues Berri et Brébeuf, coins Resther, De Mentana et DeLaRoche. En effet, depuis que les autobus 14 et 47 ont été déroutés à cause des changements de circulation sur le Plateau (la 14 sur le boul. Saint-Joseph et la 47 sur la rue Saint-Grégoire), l'interdiction de stationnement devant ces arrêts limite inutilement le stationnement pour les résidents. De plus, j'ai surpris à plusieurs reprises des gens attendant le bus où il n'en passe plus depuis le printemps 2011. J'en ai renseigné plusieurs. Souvent la STM met des panneaux de carton annonçant le changement, mais des plaisantins ou le vent les enlèvent. En consultant le service Azimut de la STM sur son site internet, on voit même que ces changements n'apparaissent pas sur les cartes et les trajets suggérés. Autant j'approuve les mesures limitant la circulation et favorisant le transport en commun, autant je désapprouve les limites inutiles au stationnement.

- Gilles Malo

La propreté sur demande

Depuis plusieurs mois, quand je descendais du métro à la station Honoré-Beaugrand, je remarquais la saleté incrustée dans les bandes jaunes en acier qui ont été installées sur les quais de certaines stations pour prévenir les non-voyants de la proximité des wagons et des rails. J'ai fait parvenir un courriel à la STM et le responsable de l'entretien m'a répondu en début de semaine que des tests de nettoyage avaient été effectués durant le week-end à la station L'Assomption et qu'ils avaient été concluants. Les bandes jaunes étaient redevenues éclatantes de propreté. Le personnel devrait donc poursuivre son travail de nettoyage et toutes les bandes jaunes en acier seront nettoyées. Comment se fait-il qu'il ait fallu attendre le commentaire d'un usager pour procéder à l'entretien tout à fait normal des installations? Je tiens à remercier le chef de service à la STM qui m'a téléphoné pour me dire que ma remarque était pertinente. Je remercie la STM d'avoir pris le temps de me répondre et de passer à l'action.

- Claude Girard, Montréal

La tour de Babel

Mon père, âgé de 86 ans, venait souvent chez nous, durant la belle saison, pour un souper en famille. Il avait l'habitude de prendre le Métrobus qui portait le numéro 199. Mais mystère, le 199 n'existe plus, car des fonctionnaires de la STM ont pris l'initiative de changer l'ensemble des numéros des lignes Métrobus. Depuis 25 ans, la ligne Métrobus porte ce numéro, mais mystérieusement, il semble qu'il n'était plus convenable et ils l'ont remplacé par le numéro 132. On a utilisé l'argent de nos taxes pour remplacer l'ensemble de l'affichage dans le métro et à chacun des arrêts d'autobus. Au même instant, on entend le maire Tremblay se plaindre qu'il na pas d'argent pour le financement des transports en commun et exiger d'autres sources de financement. On a informé mon père qu'il devait désormais prendre l'autobus numéro 132. Malencontreusement, il est monté dans le 32, celui-ci empruntant le même boulevard que le 132.  Quelle confusion! Depuis cet incident, il ne veut plus prendre l'autobus.

- Michel Gagon, Montréal