Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Hôtel Silence : L’homme de l’hôtel

« En portant à l’écran Hôtel Silence, d’après Ör, d’Audur Ava Ólafsdóttir, Léa Pool place la barre très haut pour les cinéastes qui voudront adapter les œuvres de la romancière islandaise », écrit notre journaliste Manon Dumais.

Lisez la critique

Iris et les hommes : Ciel, mes amants !

« Mû par l’enthousiasme contagieux de Laure Calamy et quelques idées de mise en scène amusantes, Iris et les hommes, troisième long métrage de Caroline Vignal, traite avec une légèreté déconcertante du désir féminin et de l’adultère. Par ailleurs, à voir les amants qu’elles soumettent à leur héroïne, il faut croire que la réalisatrice et la coscénariste Noémie De Lapparent ne considèrent pas l’adultère comme une solution aux couples fatigués par la routine », mentionne notre journaliste Manon Dumais.

Lisez la critique

Club Zero : Une satire qui laisse sur sa faim

« Club Zero, présenté en compétition au plus récent Festival de Cannes, est une métaphore cynique et troublante, qui peut parfois sembler caricaturale et simpliste, de ce qui peut mener des gens brillants, mais influençables et vulnérables, à intégrer une secte. Jessica Hausner démonte efficacement les mécanismes de ce processus d’abandon du libre arbitre. Mais son film, construit comme un thriller froid, clinique et distant — on m’excusera le jeu de mots — laisse sur sa faim », explique notre chroniqueur Marc Cassivi.

Lisez la critique

Godzilla x Kong : The New Empire : Les monstres nous ont laissé tomber

« En dépit de la taille titanesque de ses plus célèbres personnages, la valeur cinématographique du MonsterVerse — qui regroupe les films et les séries de monstres de Legendary Pictures — n’est pas si grande. Reste qu’on pouvait s’y fier. Les quatre films qui précèdent Godzilla x Kong : The New Empire sont au moins divertissants. Ce cinquième volet est toutefois un échec total », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

Lisez la critique