Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Civil War : La fracture américaine dans l’objectif

« Les origines de la guerre ne sont jamais expliquées. On ignore les affiliations politiques des adversaires. On ne sait pas toujours dans quel camp sont ceux qui s’affrontent. On comprend que certains Américains, dont les parents de Lee et de Jessie, parviennent à vivre en toute quiétude. On découvre même une petite ville qui semble avoir échappé à son époque. Comment tout cela est-il possible ? » écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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Sur la terre comme au ciel : En finir avec le droit chemin

« Clara vit dans une communauté religieuse isolée, à Maniwaki. Un jour, elle saute dans un bus pour Montréal, à la recherche de sa grande sœur évadée. Un choc des cultures, des croyances et des certitudes l’attend dans la métropole », raconte notre journaliste Silvia Galipeau.

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Àma Gloria : Les yeux du cœur

« Àma Gloria est donc un récit d’apprentissage d’une enfant avec un immense besoin d’amour. La cinéaste s’est inspirée de sa propre enfance : une nounou l’a élevée jusqu’à 6 ans, avant de repartir subitement dans son pays auprès de sa famille. Elle lui dédie d’ailleurs son film », explique notre journaliste Luc Boulanger.

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The Old Oak : Se tenir les coudes

« À la misère causée par le néo-libéralisme et le haut taux de chômage, le grand maître du cinéma naturaliste oppose celle des survivants d’une guerre civile. Si la proposition est audacieuse, le traitement se révèle plutôt mélodramatique et un brin sentimentaliste », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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With Love and a Major Organ : Avec et sans cœur

« Dans un monde pas si différent du nôtre, les cœurs sont des objets. Une femme décide d’arracher le sien à la suite d’une série d’évènements troublants », explique notre journaliste Pascal Leblanc.

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Une année difficile : Écolos d’occasion

« Avec ses spectaculaires scènes de manifestations, auxquelles de vrais militants ont collaboré, Une année difficile se présente d’abord comme une festive dénonciation de la surconsommation dans les sociétés occidentales, au son de succès de Nile Rodgers et des Doors, doublée d’un hommage sincère aux défenseurs de la planète. Or, plus le récit avance, à coups de querelles et de quiproquos jusqu’à plus soif, Toledano et Nakache semblent se moquer des deux camps. Et de l’un plus que de l’autre », mentionne notre journaliste Manon Dumais.

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