Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Irena’s Vow : Quand la réalité dépasse la fiction

« Ça a l’air trop gros (et beau !), pour être vrai. Et pourtant, l’histoire impossible d’Irena Gut Opdyke, jeune Polonaise incarnée par une bouleversante Sophie Nélisse, est bel et bien vraie. Sorte de Schindler’s List au féminin (à plus petite échelle, certes !), Irena’s Vow (La promesse d’Irena en version française), coproduction canado-polonaise, raconte son exploit », écrit notre journaliste Silvia Galipeau.

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N’attendez pas trop de la fin du monde : La dame dans l’auto avec des paillettes et un téléphone

« Dans N’attendez pas trop de la fin du monde, féroce comédie satirique d’un humour joyeusement irrévérencieux, le redoutable réalisateur Radu Jude (Bad Luck Banging or Looney Porn, Ours d’or à Berlin en 2021) oppose la Roumanie d’aujourd’hui à celle croulant sous la dictature de Ceauşescu. Pour ce faire, il suit en parallèle le parcours de deux femmes sillonnant les rues de Bucarest », raconte notre journaliste Manon Dumais.

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La bête : Que reste-t-il de nos amours ?

« Paris, 2044, plus de 60 % des Français sont au chômage à cause de l’intelligence artificielle. Afin de trouver un emploi, Gabrielle (Léa Seydoux) doit se libérer de ses affects en purifiant son ADN comme le lui explique une voix d’homme durant l’entretien (Xavier Dolan, coproducteur du film avec Nancy Grant). Au cours du processus, pendant lequel elle revit des pans de ses vies antérieures, elle croise Louis (George MacKay), qui a été plus d’une fois son grand amour », explique notre journaliste Manon Dumais.

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Abigail : Danse de mort

« Or, la petite danseuse, qui accuse un penchant pour Le lac des cygnes, de Tchaïkovski, associé aux films de vampire depuis Dracula (1931), de Tod Browning, est une créature féroce qui s’abreuve de sang et aime jouer avec sa nourriture. Avec ses crocs rappelant ceux de la ballerine de Cabin in the Woods (2011) et ses mouvements de danse empruntés à la poupée M3GAN et à Wednesday Adams, Abigail s’avère une vampire aussi adorable que la jeune Claudia d’Interview with the Vampire (1994), de Neil Jordan », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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