Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Challengers : Tennis haute tension

« Par des allers-retours dans le temps, le scénario du dramaturge et auteur Justin Kuritzkes raconte l’évolution de la relation aussi ardente que malsaine entre le trio sur une période – qui s’étire un tantinet – de 13 ans. On les suit des rangs universitaires aux tournois de l’ATP, jusque dans une épreuve challenger à New Rochelle – et dans le plus chic hôtel de la petite ville – où l’émotion atteint son paroxysme », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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Humane : Qui veut mourir ?

« En raison de la gravité de la crise climatique, un programme gouvernemental demande à la population de se porter volontaire pour l’euthanasie. Un père invite ses quatre enfants à la maison pour leur annoncer que sa femme et lui se sont inscrits. Son plan dérape toutefois et la famille doit décider qui mettra fin à ses jours », raconte notre journaliste Pascal Leblanc.

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La garde blanche : Une prison sans barreaux

« Inquiets pour l’avenir de leur communauté et la santé de leur territoire, des habitants du centre nord du Mexique font face à des sociétés minières qui, selon eux, vont jusqu’au tuer pour imposer leur loi. Et faire taire ceux qui s’opposent à elles », explique notre journaliste Alexandre Vigneault.

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Rosalie : Barbe blonde

« Porté par la grâce de Nadia Tereszkiewicz, savant mélange de naïveté, de sensualité et de témérité, Rosalie parvient toutefois à rendre captivante l’évolution du couple maudit que forment la jeune femme à la barbe et son mari rigide et froid, incarné avec sobriété par Benoît Magimel. À une époque où tant de jeunes personnes se soumettent aux diktats de la beauté jusqu’à devenir des clones de célébrités régnant sur les réseaux sociaux, Rosalie s’avère une irrésistible bouffée de fraîcheur », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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Boy Kills World : Humour absurde, violence extrême

« Un garçon dont la famille a été assassinée par les cruels dirigeants de sa ville est transformé en machine à tuer par un mystérieux chaman afin qu’il puisse venger les siens à l’âge adulte », résume notre journaliste Pascal Leblanc.

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Emptiness : La maison aux esprits

« Avec son cinquième long métrage, et premier long métrage en anglais, le cinéaste québécois d’origine turque Onur Karaman (Là où Attila passe..., Respire) offre ce qu’il appelle de la “poésie visuelle”. Certes, les images en noir et blanc, ponctuées de plans envahis de rouge, que signe le directeur photo Tom McNamara possèdent un envoûtant charme gothique et l’ambiance tour à tour anxiogène et mélancolique que crée le réalisateur peut évoquer à certains moments la poésie d’Edgar Allan Poe. Hélas, malgré d’indéniables qualités visuelles, Emptiness ne convainc guère », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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