Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Love Lies Bleeding : Fiction pulpeuse

« Love Lies Bleeding (D’amour et de sang en version française) de Rose Glass (Saint Maud) est un joyeux cocktail de sexe, de sang, de violence et de vengeance, dans un emballage rétrokitsch irrésistible », écrit notre chroniqueur Marc Cassivi.

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Au boute du rien pantoute : La douce folie de Marcel Sabourin

« “Vieillir, c’est ne plus comprendre le monde autour de soi”, lance Marcel Sabourin dans Au boute du rien pantoute. Pourtant, durant les 90 minutes du documentaire que lui consacre son fils aîné, on sent le comédien encore très jeune de cœur et d’esprit. L’aîné s’émerveille toujours de la beauté du monde autour de lui. À défaut de toujours le comprendre... » mentionne notre journaliste Luc Boulanger.

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Tu ne sauras jamais : Paul est tout seul

« Tu ne sauras jamais est à la fois un film douloureux et porteur d’espoir où Robin Aubert n’hésite pas à mettre à l’épreuve la patience du spectateur. Et ce, dès la longue scène d’ouverture, où la lumière du soleil entre doucement dans la chambre de Paul, comme si le cinéaste avait voulu faire ressentir le poids du temps. Tandis que l’homme s’éveille, tout ce qu’on entend, ce sont la toux d’une voisine de chambre, le système d’aération et le roulement du camion de la morgue. Le CHSLD comme si vous y étiez... ou presque », explique la journaliste Manon Dumais.

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They Shot the Piano Player : C’est la faute à la bossa-nova

« En choisissant l’animation plutôt que le documentaire en prises de vues réelles, Mariscal et Trueba, qui a réalisé près de 150 entrevues pour le film, se sont assurés de pouvoir évoquer avec poésie, sensualité et fantaisie les nuits endiablées des boîtes de jazz où évoluait Tenório. Or, dans certains passages, les images se meuvent au gré d’un rythme qui manque de fluidité et les couleurs sont criardes », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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One Life : Les enfants d’abord

« De facture on ne peut plus conventionnelle, le film souligne à grands traits la culpabilité de l’homme hanté par le souvenir des enfants qu’il n’a pu sauver des mains des nazis et l’idéalisme du jeune courtier prêt à remuer ciel et terre pour réussir l’impossible. Bref, pour la nuance, on repassera », affirme notre journaliste Manon Dumais.

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French Girl : Le p’tit Québec

« Pour réussir une comédie romantique, il faut s’attacher aux amoureux. Dans French Girl (Chez les beaux-parents, en version française), Gordon (Zach Braff, perdu) est un type qui se met constamment les pieds dans les plats et possède peu de charisme. Durant deux heures, on se demande une chose : qu’est-ce que peut bien lui trouver Sophie (Evelyne Brochu, correcte) que sa famille et l’auteur de ces lignes ne voient pas du tout ? » écrit notre journaliste Luc Boulanger.

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