Le malaise autour du pourboire

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Le tip shaming est de plus en plus dénoncé sur la scène publique.

Après la tipflation ou la tip fatigue, un nouveau mot-valise s’invite dans la conversation sur le pourboire : le tip shaming. Vous vous arrachez les cheveux à la vue des options qui s’offrent à vous sur les terminaux de paiement, mais n’osez pas lésiner par peur de subir une humiliation ? Vous n’êtes pas seul. Le fait de faire honte aux clients qui ne laissent pas un pourboire jugé suffisamment généreux est de plus en plus dénoncé sur la scène publique. Dans un contexte où le coût de la vie monte en flèche, ce phénomène décortiqué par notre collaboratrice Catherine Maisonneuve suscite inquiétude et frustration.

Lisez le texte « Doit-on avoir honte du pourboire qu’on donne ? »

Éclipse solaire totale : plus de peur que de mal

PHOTO MATTHEW ABBOTT, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES

Une éclipse solaire en Australie, en avril dernier. L’éclipse solaire totale, qu’on pourra observer au Québec, aura lieu le 8 avril prochain.

À un peu plus d’une semaine de l’éclipse solaire totale du 8 avril, Patrick Lagacé invite les Québécois à prendre leur gaz égal. Parmi les centaines de millions d’Américains qui ont été exposés à celle de 2017, 0,000047 % auraient subi des dommages temporaires aux yeux, a-t-il rapporté cette semaine. Des risques microscopiques, donc, si on prend les précautions qui s’imposent. Des écoles ont décrété des journées pédagogiques, d’autres ont opté pour cantonner les élèves dans le gymnase. Des directions ont même décidé de placarder les fenêtres avec du carton. Vigilance ou catastrophisme ? La question se pose.

Lisez la chronique de Patrick Lagacé

Rationner les écrans, vraiment ?

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Il semble qu’on prenne enfin conscience des dégâts causés par le temps (trop long) passé devant les écrans, surtout chez les enfants.

L’internet et les réseaux sociaux sont plus que jamais au cœur de nos vies. Et on commence tout juste à prendre conscience des dégâts causés par leur omniprésence. Pour protéger les gens d’eux-mêmes, devrait-on imposer une limite par personne ? Cette question épineuse anime Nathalie Collard et Alexandre Sirois, qui se sont prêtés au jeu de la chronique à quatre mains. Leur conversation réfléchie offre des pistes intéressantes vers un meilleur accompagnement de la population dans une utilisation équilibrée des écrans.

Lisez la chronique à quatre mains « Et si on limitait l’utilisation des écrans ? »

Voici l’« union parentale »

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Le ministre de la Justice et leader parlementaire du gouvernement, Simon Jolin-Barrette, et la ministre de la Famille, Suzanne Roy, mercredi

Il y a le mariage et l’union civile. Bientôt, il y aura aussi l’« union parentale », si la réforme du droit de la famille est adoptée à Québec. Ce nouveau régime prévoit qu’une partie du patrimoine (la maison, les meubles et le véhicule) des deux parents soit partagée en cas de séparation. Il prévoit aussi des dispositions pour qu’un conjoint de fait survivant puisse hériter même sans testament. Et qu’un conjoint qui s’est appauvri pour prendre soin d’un enfant ne se retrouve pas complètement démuni après une séparation. Il y a des projets d’enfant dans l’air ? Hugo Pilon-Larose explique les nouveaux droits et obligations qui s’appliqueront aux futurs parents.

Lisez le texte d’Hugo Pilon-Larose

Et si le pont tombait…

Les images de l’effondrement spectaculaire du pont Francis Scott Key à Baltimore ont fait le tour du monde. Après avoir été heurtée par un porte-conteneurs, la structure de plus de 2 km s’est écroulée en quelques secondes à peine dans les eaux du fleuve Patapsco. Doit-on craindre un tel drame en empruntant les ponts Jacques-Cartier ou Samuel-De Champlain ? « Un évènement similaire ne pourrait pas se produire au Québec », a déclaré le cabinet de la ministre des Transports, Geneviève Guilbault, à notre journaliste Henri Ouellette-Vézina. Les ponts du Saint-Laurent sont protégés par des structures physiques, a ajouté la Corporation de gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent. Nous voilà rassurés.

Lisez le texte d’Henri Ouellette-Vézina