Dans moins de deux ans, l’aide médicale à mourir doit être étendue aux personnes atteintes de maladies neurocognitives, comme l’alzheimer. L’enjeu est complexe, car les malades devront faire leur demande, en toute lucidité, bien avant que la décision finale de recevoir l’aide médicale à mourir ne soit prise. De quel œil voyez-vous ce changement ? Comment encadreriez-vous ces demandes anticipées ?

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