Il est impératif que les bonnes actions générées par le système de santé québécois fassent l'objet d'une attention spéciale et soient, par conséquent, largement disséminées.

Il est impératif que les bonnes actions générées par le système de santé québécois fassent l'objet d'une attention spéciale et soient, par conséquent, largement disséminées.

Nous avons amplement d'exemples de cafouillage comme la situation décrite hier dans La Presse concernant l'hôpital du Suroît, le délai de la construction du CHUM, les heures d'attente aux urgences, les coûts élevés en santé, les longues listes d'attente pour certains types de chirurgie, la fatigue des professionnels. Dans la pratique quotidienne, il existe et existera toujours des dommages et des retards que nous voudrions réduire, voire même éliminer.

Cela dit, il est du devoir de tout citoyen et usager de notre système de santé actuel de rendre compte aussi des éléments positifs. Le principe de l'imputabilité fonctionne dans les deux sens.

On se doit de rebâtir notre confiance dans un système dont les individus actuellement en place continueront de nous servir pour les années à venir. Ils ont besoin de notre soutien.

Des expériences personnelles récentes (un merci au personnel de l'urgence et l'orthopédie de l'Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme) m'ont démontré sans l'ombre d'un doute que le dévouement, la compétence et le professionnalisme des intervenants de la santé de première ligne ne peuvent être remis en question. Leur travail doit être reconnu et encensé.