Nos chroniqueurs reviennent sur des nouvelles qui les ont réjouis ces derniers jours.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Une partie des résidants de Mont-Carmel. De gauche à droite, Georgiana Thibault, Constance Vaudrin, Normand Brault, Gilles Olivier, Jean-Paul Mayer, Angèle Lacroix, Marie-Paule Lebel, Gisèle Ampleman et Marie-France Dozois.

Une victoire inspirante

La victoire des résidants du Mont-Carmel a beau avoir été qualifiée de douce-amère en raison de tous ces locataires qui ont quitté la résidence avant la résolution du litige, reste que la bataille menée par ce groupe de personnes âgées durant près de deux ans est drôlement inspirante. Cette poignée de résistants – 47 au total – a tenu tête au propriétaire qui voulait les évincer et transformer leur RPA en logements standards. Leur résilience et leur détermination font mentir tous les clichés et les préjugés à l’endroit des personnes âgées. Bravo à ce petit groupe d’irréductibles engagés qui forcent l’admiration !

Nathalie Collard, La Presse

Lisez « Victoire douce-amère pour 47 “résistants” »

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Selon Statistique Canada, certains aliments se vendent moins cher qu’en mars 2020 pendant le confinement.

Moins cher à l’épicerie

Oui, oui, certains produits en épicerie coûtent actuellement moins cher qu’en mars 2020. Notre chroniqueur Sylvain Charlebois a rapporté jeudi certains chiffres évoqués par Statistique Canada pour le démontrer. Bien sûr, globalement, le prix des aliments a grimpé de façon substantielle. C’est flagrant à la fois dans les allées et sur nos factures. Mais le prix du thon en conserve, par exemple, aurait chuté de 14 %. Celui des poitrines de poulet, de 3 %. Statistique Canada n’est qu’un indicateur, a précisé cet expert de l’Université Dalhousie quand je l’ai contacté. Mais « selon nos propres données, il y a fort à croire que certains aliments sont effectivement moins chers qu’il y a quatre ans », a-t-il précisé.

Alexandre Sirois, La Presse

Lisez la chronique « Des aliments moins chers qu’avant la pandémie ? »

PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE

Sylvain Moineau, professeur du département de biochimie, de microbiologie et de bio-informatique de la faculté des sciences et de génie de l’Université Laval

Deux chercheurs québécois récompensés

On s’enthousiasme lorsque les écrivains, les chanteurs ou les sportifs québécois remportent des prix. Pourquoi pas les scientifiques ? Deux d’entre eux ont reçu cette semaine les prix Killam du Conseil national de la recherche du Canada. Il s’agit de Clément Gosselin et de Sylvain Moineau, tous deux de l’Université Laval. Je connaissais déjà le professeur Moineau, qui a joué un rôle crucial dans la découverte de CRISPR-Cas9, un outil révolutionnaire qui permet de manipuler l’ADN. Le professeur Gosselin, lui, conçoit des mains robotiques capables d’accomplir toutes sortes de tâches industrielles et, peut-être bientôt, agricoles. Des chercheurs des universités York, McMaster et de Toronto ont aussi été récompensés.

Philippe Mercure, La Presse

Consultez les lauréats des prix Killam

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

L’agent de liaison communautaire Gabriel Gaumond et Newton, le chien-thérapeute de l’Université Concordia

On veut tous un Newton

Chaque semaine, pour notre plus grand bonheur, ma collègue Émilie Côté nous fait découvrir un aspect méconnu de la vie en ville. Elle a frappé fort cette semaine avec une histoire qui a touché droit au cœur la propriétaire de chien que je suis. Son portrait de Newton, le chien de thérapie de l’Université Concordia, nous a fait découvrir une initiative vraiment chouette qu’on rêverait de voir reproduite un peu partout. Pourquoi ? Parce que la seule présence de Newton calme les étudiants anxieux et crée des liens au sein de la communauté universitaire. Vive la zoothérapie !

Nathalie Collard, La Presse

Lisez « Le chien qui fait sensation à Concordia »