Deux semaines de vacances, tout invité que j'étais à les passer chez une amie à Québec. Une amie que j'aime dans une ville que j'aime tout autant. Au programme: de belles marches au Vieux-Port, les spectacles Le Moulin à Images et Les Chemins invisibles, et surtout, le flânage vacancier sur les belles terrasses de la rue Saint-Paul, un coin que j'aime particulièrement.
Deux semaines de vacances, tout invité que j'étais à les passer chez une amie à Québec. Une amie que j'aime dans une ville que j'aime tout autant. Au programme: de belles marches au Vieux-Port, les spectacles Le Moulin à Images et Les Chemins invisibles, et surtout, le flânage vacancier sur les belles terrasses de la rue Saint-Paul, un coin que j'aime particulièrement.
Mais voilà que mon plaisir fut gâché. Non pas gâché par le bruit d'ouvriers qui s'affairent à des travaux en ville. Pas plus par le bruit de la musique souvent trop forte des jeunes conducteurs filant à toute allure dans les rues de la capitale. Non! Plutôt un déplaisir que j'ai nommé: les motocyclettes. Une véritable peste!
Que ce soit des Harley ou autres, ces bolides viennent vous assaillir les oreilles de façon outrancière et vous empêchent même de comprendre la teneur d'une bribe de conversation que vous aviez avec la personne venue avec vous relaxer sur une des belles terrasses du Vieux-Québec. Un coin de la ville, qui jadis était reconnu pour jouir d'une quiétude que l'on ne retrouve pas ailleurs.
Mais ça y est, les grosses motos font maintenant partie du décor et deviennent un irritant estival dont on pourrait se passer allègrement. Le pire, c'est que les conducteurs de ces motos, en mode vacarme, ne semblent pas se rendre compte qu'ils se comportent, malgré eux, comme des voyous de la route. Mais laissez-moi croire S.V.P. qu'un bon nombre d'entre eux prennent un certain plaisir à nous bourrer les oreilles au volant de leurs deux roues qui pétaradent à qui mieux mieux .
Le comportement de ces motocyclistes est d'un incommensurable irrespect. Heureusement que ce ne sont pas toutes les motos de ce genre qui nous fracassent l'ouïe. Mais pour les conducteurs de ces autres engins trop bruyants, j'aimerais seulement rappeler que le mot «muffler» signifie un silencieux.