Je suis présentement en réorientation de carrière à l'Université de 
Sherbrooke. Dans mes cours, beaucoup d'étudiants utilisent leur téléphone pour envoyer des textos, les ordinateurs portatifs sont
permis et la navigation sur le web est fréquente durant 
les cours. Au début de la session, je trouvais cela un peu dérangeant, car je trouvais qu'il y avait là un manque de respect envers les professeurs. Au bout de deux mois, on s'habitue, et comme les professeurs semblent ne pas y accorder d'importance, on oublie ce nouveau phénomène.

Je suis présentement en réorientation de carrière à l'Université de 
Sherbrooke. Dans mes cours, beaucoup d'étudiants utilisent leur téléphone pour envoyer des textos, les ordinateurs portatifs sont
permis et la navigation sur le web est fréquente durant 
les cours. Au début de la session, je trouvais cela un peu dérangeant, car je trouvais qu'il y avait là un manque de respect envers les professeurs. Au bout de deux mois, on s'habitue, et comme les professeurs semblent ne pas y accorder d'importance, on oublie ce nouveau phénomène.

Ma 
fille de 16 ans, qui avait «décroché» du secondaire à 15 ans, s'est réinscrite en novembre dernier pour compléter son 
secondaire à l'école des adultes. La semaine dernière, elle a été 
expulsée de ses cours parce qu'elle était en possession d'un 
cellulaire en fonction dans son sac à main, même si la sonnerie était éteinte. Une semaine de suspension pour avoir enfreint un nouveau règlement mis en vigueur depuis la semaine de relâche... Lorsqu'on fait l'effort de se réinscrire au secondaire, la moindre des choses serait de traiter les étudiants comme des personnes responsables. Le but est d'obtenir un diplôme afin de pouvoir faire de meilleurs choix professionnels. Tant que nos agissements ne nuisent pas aux autres élèves, il serait sûrement opportun de laisser les jeunes adultes gérer leur matériel électronique. Après tout, nous sommes à l'ère de la technologie. Il est certain que lors des examens, on doit proscrire leur utilisation, mais dans les autres circonstances, ils constituent de nouveaux outils que nous ne pouvons pas ignorer, ils font partie intégrante de nos vies.