Une politique de bas prix se fait aux dépens de l'enrichissement collectif: pressions sur le fournisseur qui, à son tour, en fait sur ses employés et ses propres fournisseurs, qui, à leur tour, font la même chose, quitte à fermer les usines ici pour exploiter une main-d'oeuvre bon marché dans un pays du Tiers-monde. Conséquemment, les produits perdent toujours en qualité.

Une politique de bas prix se fait aux dépens de l'enrichissement collectif: pressions sur le fournisseur qui, à son tour, en fait sur ses employés et ses propres fournisseurs, qui, à leur tour, font la même chose, quitte à fermer les usines ici pour exploiter une main-d'oeuvre bon marché dans un pays du Tiers-monde. Conséquemment, les produits perdent toujours en qualité.

Alors, au bout du compte, on se retrouve mal payé parce que notre employeur subit des pressions, et on n'a plus tellement le choix que de s'approvisionner dans ces magasins de bas prix pour maintenir notre «quantité» à la consommation en en déplorant la mauvaise qualité.

Bref, on s'appauvrit collectivement et on dégrade notre environnement. Le panier le moins cher sera toujours le moins rempli, mais aussi, bonne nouvelle, le plus apprécié; l'abondance est fade. Je ne crois pas que le projet Walmart soit une bonne nouvelle pour le consommateur.