Depuis l'été, l'étau se resserrait de jour en jour. Les marchés financiers, la City, Obama, Merkel, Sarkozy, le patronat italien, des voix dissidentes au sein de son parti, même Umberto Bossi, l'allié de la Ligue du Nord, tout le monde n'a cessé d'envoyer un seul message: le temps de Berlusconi est fini.

Son inaction à la tête du gouvernement devenait non seulement embarrassante pour ses partenaires durant les sommets, mais avec l'agravation de la crise financière, elle pouvait se révéler mortelle pour toute la zone euro compte tenu de l'ampleur de la dette italienne.

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