Il n'y a pas grand-chose de positif dans l'accord de principe sur la dette conclu entre les leaders du Congrès et la Maison-Blanche. L'entente permettra certes d'éviter un défaut de paiement catastrophique pour le gouvernement, probablement jusqu'à la fin de 2012. Mais le reste est presque une capitulation complète aux exigences dignes d'une prise d'otage imposées par les extrémistes républicains.

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