«Les dirigeants de l'OTAN ont dû admettre que ces attaques ont eu peu d'effet sur les combats urbains dans la ville de Misrata. Le général canadien Charles Bouchard a comparé ces combats à une bataille au coûteau dans une cabine téléphonique; il est très difficile de s'interposer. Autrement dit, l'intervention de l'OTAN, qui devait permettre de protéger les civils libyens, a eu l'effet contraire dans plusieurs villes.»

Lisez la suite (en anglais) sur le site du quotidien anglais The Guardian: https://www.guardian.co.uk/commentisfree/2011/apr/20/libya-mission-creak-editorial