Ed Miliband a remporté la course au leadership du Parti travailliste par la plus mince des majorités, et son premier geste a été, avec raison, de tendre la main aux 49,35% des délégués qui lui avaient préféré son frère David. Mais les premiers messages qu'il a cherchés à transmettre sont allés au-delà d'un simple effort d'unir le parti derrière lui. Il a dit ce que le Parti travailliste, et la Grande-Bretagne tout entière, avait besoin d'entendre.
Lire la suite de l'éditorial (en anglais) sur le site du quotidien britannique The Independent: