Qu’est-ce que ça signifie aujourd’hui ? Des jeunes témoignent, des experts se prononcent. Un constat s’impose : malgré une plus grande diversité de modèles, les stéréotypes traditionnels perdurent. Et le sentier qui mène à la masculinité demeure étroit. Découvrez nos articles.
Devenir un homme
Les gars sont de plus en plus appelés à sortir du stéréotype. À travers des témoignages et des avis d’experts, La Presse se demande comment vont les jeunes hommes et explore les nuances de la masculinité moderne.
Lisez le dossier des journalistes Alexandre Vigneault et Léa CarrierLa culture québécoise influence-t-elle les jeunes hommes ?
Les artistes québécois exercent-ils une influence sur les jeunes hommes ? La culture populaire québécoise a-t-elle encore un impact sur eux ? Notre chroniqueur en discute avec trois humoristes, Jay Du Temple, Louis Morissette et Adib Alkhalidey.
Lisez la chronique de Marc CassiviS’affranchir des influenceurs masculinistes
Comment un adolescent en vient-il à répéter des discours misogynes entendus en ligne ? Après s’être laissé séduire par des propos extrêmes à 15 ans, un jeune homme raconte comment il s’en est libéré.
Lisez l’article de la journaliste Léa CarrierAdos et porno : oser en parler
Quel est l’âge moyen de la première exposition à la porno ? Les garçons sont-ils de plus grands utilisateurs que les filles ? Quels sont les impacts sur la sexualité adolescente ? Beáta Bőthe et Marie-Pier Vaillancourt-Morel, professeures au département de psychologie de l’Université de Montréal et de l’Université du Québec à Trois-Rivières, suggèrent des pistes et des lectures pour approfondir la réflexion.
Lisez l’article de Suzanne ColpronPour aller plus loin
De ce qu’ils ont dans la tête à ce qu’ils ont entre les jambes, plusieurs œuvres récentes – et intéressantes – se sont intéressées aux garçons et aux hommes. En voici une courte sélection.
Lisez l’article d’Alexandre VigneaultVotre chemin vers la masculinité
[...] pour devenir de vrais hommes forts, il faut donc que les garçons (petits et grands) apprennent à ouvrir leur « canal affectif », car c’est par ce canal que notre humanité s’exprime et que les plus belles choses de la vie nous arrivent.
Frankie Bernèche, professeur de psychologie