Nous venons d'apprendre que les coûts entraînés par l'organisation des Jeux olympiques d'Athènes en 2004 ont fait augmenter la dette extérieure de la Grèce de 2 à 3%. Ahurissant!

Voilà qui n'augure rien de bon pour la Grande-Bretagne, déjà poussée dans les câbles par la crise, dont le gouvernement a publiquement déclaré en 2008 qu'il n'aurait jamais cherché à obtenir les JO de 2012 s'il avait su que l'économie se retrouverait sur le point de s'écrouler.

C'est dire que la France l'a échappé belle! Ouf! La mairie de la Ville lumière et le gouvernement français devraient, conjointement et rétrospectivement, remercier le CIO d'avoir laissé choir Paris au profit de Londres, en 2005.