Le syndrome du jet privé a encore frappé. Après la ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, le premier ministre François Fillon est épinglé pour avoir bénéficié - cette fois directement - de la complaisance intéressée d'un dictateur aux méthodes brutales et à la fortune louche. Cette manie qu'ont certains puissants de se faire inviter partout sans se soucier de la qualité morale de ceux qui les invitent, ni des conséquences symboliques de ces facilités ambiguës, finit par éclater au grand jour.

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