Il y a des raisons légitimes de garder certaines conversations diplomatiques secrètes.
Les récentes révélations de WikiLeaks vont donner lieu à des moments bizarres, en partie parce qu'elle contiennent des déclarations directes de dirigeants de la planète. La prétention de la secrétaire d'État Hillary Clinton, à l'effet que les fuites menacent la sécurité nationale, semble exagérée.
Lisez l'éditorial du New York Times.