M. Charest a eu toutes les occasions de stopper le scandale de la construction dès son origine en mettant sur pied une commission d'enquête. Il a eu la chance de réduire la taille de l'État québécois depuis qu'il a pris le pouvoir en 2003, comme il l'avait promis. Il aurait pu rétablir l'état des finances publiques et contrôler la croissance de la dette massive du gouvernement, ce qui n'est pas encore arrivé.

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