Chalet en bois rond de compétition
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PHOTO FOURNIE PAR ANIK VO-HOANG
Un chalet en bois rond sur sa butte, un régal pour les yeux et les papilles
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PHOTO FOURNIE PAR ANIK VO-HOANG
Une bûchette pour le dessert ?
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PHOTO FOURNIE PAR ANIK VO-HOANG
D’après Météomédia, il devrait tomber 10 cm de copeaux de noix de coco cette nuit.
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PHOTO FOURNIE PAR ANIK VO-HOANG
La crème de la crème des patineurs s’est donné rendez-vous.
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PHOTO FOURNIE PAR ANIK VO-HOANG
La designer d’intérieur Anik Vo-Hoang et le menuisier Jerry Chung sont les artisans derrière cette maison.
En voilà une, une maison en pain d’épice de compétition ! Car c’est justement dans le cadre d’un concours lancé sur leur lieu de travail que la designer d’intérieur Anik Vo-Hoang et le menuisier Jerry Chung (qui travaillent pour IKEA, ça ne s’invente pas !) ont bâti ce chalet en bois rond à deux niveaux. Il a été confectionné en fusionnant deux maisons en pain d’épice vendues en magasin, puis en recourant à divers ingrédients : biscuits, bretzels, chocolats Daims, flocons de noix de coco, glaçage au beurre. « Il est entouré de beaux sapins, d’un petit pont, d’un puits, d’une fontaine, de deux lampadaires fonctionnels, d’une belle patinoire pour jouer au hockey », décrit Mme Vo-Hoang. L’histoire ne dit pas si elle a remporté les honneurs.
En modèle réduit !
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PHOTO FOURNIE PAR MARIE-CHRISTINE DÉRY
Et vous, seriez-vous capable de reproduire votre propre maison ou immeuble en pain d’épice ?
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PHOTO FOURNIE PAR MARIE-CHRISTINE DÉRY
L’idée est aussi charmante qu’amusante.
Pas mal du tout, cette maison en pain d’épice… mais elle vous paraîtra encore plus charmante quand vous saurez qu’elle est la réplique de la demeure familiale de Marie-Christine Déry ! Tout en lumières et en détails (notez les panneaux de l’intersection des rues, ainsi que le numéro de porte), elle se pare d’un toit en céréales et de décors en menthes et cannes de Noël. Sur la cheminée, on peut apercevoir le père Noël saluer tout le monde avant de se glisser dans le conduit. La petite œuvre d’art gourmande a été confectionnée par le parrain du conjoint de Mme Déry.

PHOTO FOURNIE
Cette église toute de vitraux et de lierre vêtue semble succulente.
Donne-nous notre pain d’épice quotidien
Très inspirante et originale, cette église à dévorer érigée par Lynn Jezabel Wessel, orignaire de Sainte-Adèle. Elle s’est inspirée du modèle des chapelles européennes, mais a toutefois ajouté une touche locale, avec un vitrail arrondi en façade calqué sur celui de l’une des églises de Sainte-Adèle (probablement Saint-Norbert).
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PHOTO FOURNIE
La façade arrière, lumineuse
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PHOTO FOURNIE
Le clocher et son horloge sont charmants.
Elle est entièrement comestible – les vitraux sont faits d’isomalt (sucre comestible) et la base de pain d’épice a été collée avec de la glace royale. Amen !
La fameuse beauté intérieure
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PHOTO FOURNIE PAR LA FAMILLE RODE
Une gare, un train et un bateau : en chemin pour des aventures gustatives
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PHOTO FOURNIE PAR LA FAMILLE RODE
La grande gare européenne conçue l’année dernière.
En voiture pour Noël, avec la famille Rode ! « Au fil des années, nous adaptons nos créations aux désirs et intérêts de nos enfants. Notre plus vieux est passionné des trains depuis qu’il sait parler ! Il nous demande toujours une station de train, et en 2020, il voulait qu’on y ajoute un bateau de marchandises. En 2021, on voulait faire une gare de train avec une apparence plus traditionnelle, un peu à la façon d’une grande gare européenne, complète avec des vitraux colorés », explique Alexandra Fraser, membre de la famille.
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PHOTO FOURNIE PAR JOHANNE BERGERON
Le village vert, rouge et blanc de Johanne Bergeron
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PHOTO FOURNIE PAR MONIQUE LETHIECQ
Le grand village de la famille Lethiecq, qui en reproduit un nouveau chaque année
Bienvenue au village
Traditionnellement, les gourmands de Noël hissent les murs d’une seule maison et mettent le paquet (de bonbons) dessus. Mais d’autres se lancent plutôt dans la construction de petits villages à manger, comme Johanne Bergeron, qui a misé sur le blanc, le rouge et le vert pour rehausser l’ambiance des Fêtes. Dans la famille de Monique Lethiecq, c’est même une tradition familiale à laquelle les enfants se consacrent chaque année, bâtissant tout de A à Z. « Il n’y a pas de jugement, les enfants expérimentent, partagent, rient, sentent, goûtent et chantent ! », s’émerveille Mme Lethiecq.
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PHOTO FOURNIE PAR ÉLISABETH PERREAULT-CORBEIL
Entre deux travaux universitaires, Élisabeth Perreault-Corbeil se réfugie dans son petit chalet à croquer.
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PHOTO FOURNIE PAR MARIE-CLAUDE PERRON
L’année à venir sera-t-elle bonne ? À vous de voir, selon l’aspect des maisons de Mme Perron.
Des projets solos qui font du bien
Cette activité charmante se prête parfaitement à la confection familiale, mais peut tout aussi bien se mener en solo. Sur ces photos, on peut apprécier la créativité de Camille Couineau, qui s’est donnée pendant trois jours pour monter son chalet d’hiver chauffé au sucre, et celle d’Élisabeth Perreault-Corbeil, avec vitraux colorés, volets et jardinières en réglisse et une porte en biscuits Graham – « Un projet idéal pour survivre à une fin de session universitaire plus que chargée ! », confie-t-elle.

PHOTO FOURNIE PAR CAMILLE COUINEAU
Camille Couineau a consacré trois jours à son projet.
Quant à Marie-Claude Perron, elle considère que la réussite ou non de ses maisons, classiques, est prémonitoire du ton de l’année à venir. « Je les ai ratées une seule fois : le dernier Noël avant la pandémie. Depuis ce temps, je prétends qu’elles sont un présage de la prochaine année », dit-elle.

PHOTO FOURNIE PAR ALAIN LÉPINE ET SYLVIE DUPUY
Un cabanon style Hansel et Gretel : il ne se mange pas, mais on aime l’idée !
Grandeur nature
« Notre maison de pain d’épices n’est pas mangeable, mais elle est adorable », préviennent Alain Lépine et Sylvie Dupuy, de Laval. En effet, au moyen de belles décorations et de luminaires, leur cabanon se transforme pour l’hiver en maison digne d’Hansel et Gretel, sorcière non incluse. « Un peu de peinture sur des morceaux de bois récupérés, quelques lumières, un peu d’imagination et vous pouvez créer de la magie de Noël », affirme le couple, dont les invités sont systématiquement ravis de découvrir cette maison en pain d’épice plus grande que nature.
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PHOTO FOURNIE PAR ISABELLE JUTRAS
Frannie, Florence, Isabelle et Mathilde se sont regroupées pour ériger cette maison aux murs tous différents, dont l’un était de chocolat blanc et noir.
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PHOTO FOURNIE PAR CATHERINE LAVOIE
La belle maison colorée confectionnée par la fille de Catherine Lavoie, avec l’aide de sa mère, avec colle de blancs d’œufs et sucre à glacer et sapins en cornets de crème glacée.
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PHOTO FOURNIE PAR HÉLÈNE LEDOUX
Avec cette réalisation faite en compagnie de l’une de ses filles et de ses petits-enfants, Hélène Ledoux apporte grand soin à la garniture intérieure qui permet d’apprécier un petit monde succulent. « La permission de la casser pour la manger est jouissive », remarque-t-elle.
Le coin des enfants
Voici quelques-unes des réalisations bâties par des enfants, avec ou sans l’aide de leurs proches et parents.
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PHOTO FOURNIE PAR CÉLINE PILOTE
Le petit-fils de Céline Pilote, qui a 4 ans et demeure à Toronto, a demandé à sa grand-mère si elle pouvait l’aider à confectionner sa maison en pain d’épice. Comment dire non ? « Je crois que ça deviendra une tradition de Noël entre lui et moi. Il m’attendait impatiemment avec sa boîte dans les mains », dit-elle.
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PHOTO FOURNIE PAR JOSÉE CARON
Une maison fabriquée à 100 % par Josée Caron et ses enfants, en suivant la recette de Ricardo, puis en se laissant aller sur le choix des confiseries.
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PHOTO FOURNIE PAR GENEVIÈVE BOUTHOT
Dans la famille de Geneviève Bouthot, de Saint-Bruno, construire des maisons en pain d’épice, c’est tout nouveau. Celle-ci est la première de la lignée, réalisée pendant le confinement de 2020, en compagnie de ses ados.
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PHOTO FOURNIE PAR MARIE-ÈVE BROCHU
Marie-Ève Brochu a mis la main à la pâte avec sa fille Julianne, 9 ans.
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PHOTO FOURNIE PAR CAROLYNE RHÉAUME
Justin (7 ans) et Gabriel (10 ans), enfants de Carolyne Rhéaume, de Chambly, ont uni leurs forces pour assembler cette maison colorée.
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PHOTO FOURNIE PAR SYLVIE TESSIER
Sylvie Tessier fabrique tous les ans une maison pour son petit-fils, qui la mange tout au long de l’année. « C’est une tradition qui, j’espère, lui laissera de jolies images quand il sera adulte », dit-elle.