D’aussi loin qu’il se souvienne, Onur Karaman s’est toujours posé de grandes questions existentielles et morales. Avec le temps, l’introspection est devenue une habitude. « Comme Jung l’a déjà dit, il faut voir la noirceur à l’intérieur de soi pour savoir qui on est vraiment. C’est ce que j’essaie de faire. C’est une sorte de thérapie pour moi. »

Il allait de soi que l’auteur de Là où Attila passe (2016) et de La ferme des humains (2013) en vienne un jour à soulever au grand écran les grands concepts philosophiques qui le taraudent depuis si longtemps, comme le bien et le mal, le poids de la culpabilité ou l’éveil de la conscience. Son troisième long métrage, Le coupable, s’engage à plein dans cette avenue.

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