Quoi voir pour ce temps de Fêtes ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

The Iron Claw : La famille que la lutte a tuée

« Dans The Iron Claw, le réalisateur et scénariste canadien Sean Durkin montre que la douleur de ces athlètes est constante et dans le cas de la famille Von Erich, elle est omniprésente », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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Ferrari : Diablement efficace

« S’appuyant sur le côté opératique et mélodramatique de cet épisode de la vie d’Enzo Ferrari, Michael Mann a mis en scène un récit tendu et enlevant, particulièrement dans les séquences filmées à partir des voitures de course recréées à l’identique, au ras de la piste. Adam Driver, grâce à son flegme habituel, arrive à faire oublier qu’il incarne un homme de 20 ans son aîné », écrit notre chroniqueur Marc Cassivi.

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The Color Purple : Éclatant et touchant !

« Dans les rôles féminins principaux, Fantasia Barrino et Taraji P. Henson sont excellentes, avec une mention spéciale à Danielle Brooks, bouleversante Sofia ! Le trio livre de grands numéros musicaux, tout en jouant avec nuance et vérité », écrit notre journaliste Luc Boulanger.

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The Boys in the Boat : C’est l’aviron qui nous mène

« Avec les années, George Clooney (Confessions of a Dangerous Mind, Good Night, and Good Luck) s’est dangereusement assagi. Sa dernière offrande à titre de réalisateur, Ils étaient un seul homme, raconte avec tous les clichés propres aux drames sportifs l’histoire de l’équipe d’aviron américaine, laquelle se rendit aux Jeux olympiques d’été de Berlin, en 1936. Vous devinez la suite », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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Migration : Aventure pour toute la famille

« La famille Mallard n’a jamais quitté son étang. Le passage d’oiseaux migrateurs l’inspire à partir à l’aventure. Sur le chemin de la Jamaïque, les cinq canards font d’agréables et de dangereuses rencontres », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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Aquaman and the Lost Kingdom : Noyade évitée

« En dépit d’un scénario d’une minceur sans nom, de la musique tonitruante, des blagues qui tombent à plat, des dialogues creux, des effets spéciaux inégaux et de la 3D qui donne le mal de mer, Aquaman and the Lost Kingdom n’est pas une expérience entièrement désagréable », écrit notre journaliste Pascal Leblanc.

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Anyone But You : La faute à Shakespeare

« Ce n’est pas la première fois qu’un classique de la littérature anglaise sert de point d’ancrage à une comédie sentimentale. Hélas, Will Gluck et sa coscénariste Ilana Wolpert (High School Musical – The Musical – The Series) l’ont fait avec beaucoup moins de bonheur qu’Amy Hackerling et Gil Junger, qui avaient revisité respectivement Emma de Jane Austen dans Clueless (1995) et La mégère apprivoisée de Shakespeare dans 10 choses que je déteste de toi (1999). La version proposée dans Anyone But You (N’importe qui sauf toi, en version française) se révèle bien moins complexe et spirituelle que celle de Shakespeare », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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Anselm : Avec le temps

« L’Allemand Wim Wenders se penche sur les 50 ans de carrière de l’artiste contemporain Anselm Kiefer, dans un documentaire fascinant. », écrit notre chroniqueur Marc Cassivi.

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Sapin$ : Noël insolite et décalé

« Ce qui ne laisse aucun doute, c’est que Sapin$ est un film des Fêtes très original. Réconfortant, comique et bien ficelé, il saura plaire à ceux qui cherchent à s’imprégner de l’esprit de Noël, sans se farcir une énième histoire typique », écrit notre journaliste Audrey-Anne Blais.

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Et la fête continue ! : D’amour et de politique

« Ode à la famille, doublée d’un hommage aux travailleurs de la santé et aux gagne-petit, où retentit Emmenez-moi, d’Aznavour, ambassadeur par excellence de l’Arménie, Et la fête continue ! se révèle par endroits brouillon et artificiel, comme si le film croulait sous ses nombreux sujets et que certains acteurs hésitaient entre la gravité et la légèreté », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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L’abbé Pierre – Une vie de combats : L’homme derrière l’icône

« C’est le propre des grands hommes (et grandes femmes) de ne pas se gonfler l’ego de certitudes. Et le film de Frédéric Tellier sur ce personnage hors du commun nous le rappelle avec brio. Porté par la prestation exceptionnelle de Benjamin Lavernhe, convaincant à chaque étape et chaque métamorphose du rôle qu’il incarne à l’écran de 25 à 94 ans, L’abbé Pierre – Une vie de combats est moins intéressant que son sujet », écrit notre journaliste Luc Boulanger.

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