Pas moins de 162 réfugiés sont arrivés – ou arriveront bientôt – au Canada à partir de l’Australie, un pays riche. Originaires notamment d’Afghanistan, de Birmanie ou d’Iran, ils ont subi des horreurs aux mains des autorités australiennes. Leur crime ? Être arrivés en bateau. Devant l’intransigeance de Canberra, des Canadiens et des Australiens se sont mobilisés pour leur donner une vie décente. Notre chroniqueuse Laura-Julie Perreault a suivi le parcours de l’un de ces réfugiés, de Sydney à Toronto.
Laura-Julie Perreault
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Une hausse des avortements. Voilà l’effet probable de l’abolition pressentie de Roe c. Wade par la Cour suprême des États-Unis, abolition qui permettrait aux États américains qui le désirent de bannir l’avortement, voire de le criminaliser.
C’est un des endroits les plus iconoclastes de Moscou. Un diner à l’américaine à l’ombre d’une immense statue de Lénine. Pendant des décennies, ç’a aussi été le lieu de rencontre des journalistes canadiens établis dans la capitale russe. Un club très inclusif dont Fred Weir était le président implicite, le doyen.
L’Australie tire avantage en parallèle du charbon et du corail, deux ressources importantes pour les secteurs de l’énergie et du tourisme. Mais les changements climatiques obligent le pays à faire un choix – déchirant – entre ces richesses nationales, comme a pu le constater Laura-Julie Perreault lors d’un reportage sur la côte est australienne.
Des forêts qui brûlent de plus en plus souvent, des chaleurs records, des épisodes de blanchiment fréquents de la Grande Barrière de corail, des inondations meurtrières : il ne passe quasiment pas un mois sans que l’Australie ne soit frappée par une catastrophe naturelle. Comme le Canada, le pays d’Océanie est l’un des plus touché par le réchauffement climatique, mais à l’instar du Canada, il tarde à adopter des mesures changeant la donne. Un phénomène en chiffres.
Imaginez si l’animateur Guy A. Lepage était condamné à la prison à perpétuité sans possibilité de libération parce qu’il a porté un carré rouge et critiqué la position du gouvernement pendant le printemps érable de 2012.
Juin 2022. L’invasion russe en Ukraine est dans son quatrième mois. Malgré les exactions et les crimes de guerre décriés, l’attention du monde s’est un peu détournée du conflit. En France, la nouvelle présidente, Marine Le Pen, annonce que son pays compte alléger les sanctions contre la Russie.
« C’est qui, le gars à côté de Joe Gagnon ? » La réponse à cette blague qu’affectionnait mon père quand j’étais enfant était « le pape ». Je riais. J’adorais l’idée qu’une vedette locale puisse éclipser en célébrité – ne serait-ce qu’une seconde – l’un des visages les plus connus de la planète.
Il est sur toutes les lèvres, le mot qui commence par la lettre « g », depuis que des photos effroyables nous parviennent de Boutcha et d’autres villes en périphérie de Kyiv où les troupes russes ont semé la mort et la cruauté.
Des photos en robe chic. Avec une nouvelle coupe de cheveux. Dans un avion. La plupart du temps, une moue aux lèvres. Rien sur la page Facebook de Marina Ovsiannikova ne laissait présager que la productrice télévisuelle moscovite était du genre à jouer le tout pour le tout pour une cause politique.