Marc Levy nous avait emmenés complètement ailleurs avec sa trilogie 9 qui nous plongeait dans l’univers des pirates informatiques et de l’espionnage international, trois romans haletants qui s’interrogeaient sur l’état de santé de nos démocraties.
Il a visiblement eu besoin de reprendre son souffle après cette immersion dans un univers plutôt sombre. Retour à ce qu’il connaît de mieux, donc, le roman d’amour. L’histoire d’une rencontre, sur un bateau de croisière, entre une femme en deuil et un jeune homme qui rêve d’être musicien. Ils sont fragiles tous les deux, mais leur rencontre – et leur relation qui défie les conventions – les ramènera à la vie.
Marc Levy assure qu’écrire ce roman lui a fait un bien fou. Gageons que ce roman qui célèbre la liberté d’aimer qui on veut en se fichant bien de ce que les autres en pensent touchera sûrement le cœur de son fidèle lectorat qui le suit depuis plus de 20 ans. À quand le film ?
Éteignez-tout et la vie s’allume
Robert Laffont/Versilio
212 pages