Les vacances d’été tirent à leur fin. Dans quelques jours, les écoles fourmilleront de nouveau d’enfants. Pour en profiter jusqu’au bout, nos journalistes vous ont déniché quelques événements à ne pas manquer.

Patrick Watson à Live à Lost River

Présenté pour la troisième année, Live à Lost River est un festival total, une immersion dans la musique et la nature. Organisé par Patrick Watson et Rebecca Foon à Wentworth North, dans les Laurentides, l’évènement qui se déroule du 24 au 27 août propose un parcours mettant en vedette autant la forêt environnante que les artistes invités – Klô Pelgag, le quatuor de musique de chambre moderne Esmerine, le duo électro minimaliste Bibi Club et Patrick Watson lui-même –, dans un contexte hyper intime. L’accueil est limité à 300 personnes par soir et les billets coûtent 160 $ (incluant le repas), et il reste encore de la place pour ce jeudi et dimanche.

Josée Lapointe, La Presse

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Jackalope Fest à l’esplanade du Parc olympique

PHOTO PHILIPPE BOIVIN, ARCHIVES LA PRESSE

Jackalope Fest est de retour ce week-end sur l’esplanade du Parc olympique.

Pendant trois jours, l’esplanade du Parc olympique accueillera des pros du skateboard et de l’escalade dans le cadre du 11e Jackalope Fest. Autant les amateurs de sports extrêmes, que les familles et les curieux sont conviés à y assister gratuitement. En plus des compétitions, de nombreuses autres activités sont proposées, dont un spectacle ce vendredi du groupe Ragers – l’album Missed Calls From Home est attendu le 29 septembre –, la musique de divers DJ, un mur d’initiation à l’escalade et une zone de détente avec différents jeux d’adresse. Des camions de bouffe de rue seront sur place pour combler petits et gros creux.

Sur l’esplanade du Parc olympique, du 25 au 27 août

Pascal LeBlanc, La Presse

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Stefana Fratila à la SAT

PHOTO TIRÉE DE LA PAGE FACEBOOK DE STEFANA FRATILA

Stefana Fratila propose I want to leave this Earth behind, samedi, à la SAT.

Direction la Société des arts technologiques (SAT) ce week-end, où l’on retrouve des œuvres et des performances immersives dans le cadre de MUTEK. Samedi I want to leave this Earth behind de l’artiste Stefana Fratila « examine ce que signifie pour une personne handicapée de mener une exploration imaginaire du cosmos ». Et dimanche, Entanglement est « une expérience visuelle et sonore étonnante, guidée par la science, la technologie et la sensibilité nécessaire pour illustrer ce qui ne peut être visualisé ». Deux offres immersives intrigantes.

Philippe Beauchemin, La Presse

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William Basinski aux Foufounes électriques

PHOTO DANILO_PELLEGRINELLI, FOURNIE PAR L’ARTISTE

William Basinski

Une musique d’ambiance, bouclée, exploratoire, où le temps s’arrête… aux Foufounes électriques ? On veut en savoir plus ! Direction le mythique bar montréalais mercredi soir prochain, donc, pour une soirée hors norme avec, en prélude, les compositions de Jessica Moss et de France Jobin, puis, en plat principal, les œuvres aériennes synthétisées signées par le spécialiste du genre, l’américain William Basinski. Si l’une de ses compositions s’écoutait dans le confort de l’espace Habitat sonore du Centre Phi l’été dernier, cette fois, le lieu de diffusion intrigue.

Philippe Beauchemin, La Presse

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Au cinéma : Toupie et Binou, le film et Une femme exemplaire

Près de 20 ans après leur première apparition à la télé, Toupie et Binou reviennent sur grand écran. Marc Labrèche prête de nouveau sa voix à la sympathique souris. Cette fois-ci, Anne Dorval, Xavier Dolan, Geneviève Schmidt et Stéphane Rousseau se joignent à l’aventure. « Drôle et étonnant, le long métrage qui invite à l’émerveillement plaira assurément aux enfants d’âge préscolaire. Gageons toutefois que les jeunes qui ont grandi en écoutant le sympathique duo, dont les épisodes ont été rediffusés pendant de nombreuses années, seront heureux de renouer avec leurs anciens héros le temps d’un film », nous mentionne la journaliste Véronique Larocque dans sa critique publiée le 11 août.

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Une femme respectable, qu’on annonce comme le dernier film de Bernard Émond, nous transporte à Trois-Rivières au début des années 1930. On suit Rose (Hélène Florent), séparée de son mari Paul-Émile (Martin Dubreuil) depuis 11 ans, qui l’accueille après la mort de sa seconde concubine. « Une femme respectable parle de charité, de pardon, de doute, de partage… Des thèmes qu’on voit peu sur nos écrans en 2023. Aux certitudes de notre époque, le cinéaste expose ce qui ronge et trouble les esprits chagrins », écrit notre journaliste Luc Boulanger dans sa critique.

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