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En préparant les collations qui sont remises aux élèves, le ministre de l’Éducation questionne les bénévoles sur les enjeux qu’ils vivent dans l’établissement, ce qu’ils constatent par leur implication sociale, mais aussi à titre de parents et de grands-parents. En entrevue, M. Drainville affirme que ces témoignages lui servent dans son travail afin d’avoir le pouls du terrain.
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Lundi après-midi. Bernard Drainville se déplace à l’école Lacroix, à Saint-Georges, pour observer l’éclipse solaire avec les élèves et le personnel. Il visite des classes et assiste à une expo-sciences sur le sujet.
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À l’école Lacroix, en Beauce, le ministre Drainville est une fois de plus talonné par les médias pour expliquer pourquoi des écoles ont décidé d’accorder une journée pédagogique plutôt que d’accompagner les élèves pour vivre l’éclipse avec eux. Il défend l’autonomie du réseau et des centres de services scolaires.
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Mardi après-midi. C’est un grand jour pour Bernard Drainville, qui voit son projet de loi 47 visant à renforcer la protection des élèves adopté à l’unanimité par l’Assemblée nationale. À son arrivée au Salon bleu, le ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuit, Ian Lafrenière, lui donne une épinglette jonquille dans le cadre du mois de la sensibilisation au cancer.
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Bernard Drainville et son équipe se rendent au bureau de la nouvelle lieutenante-gouverneure du Québec, Manon Jeannotte, qui donne la sanction royale à loi 47 nouvellement adoptée par l’Assemblée nationale. Le ministre vante les mérites de son équipe.
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Mercredi matin. Bernard Drainville quitte une rencontre de priorités entre différents ministres pour se rendre à son bureau de l’Assemblée nationale. La mi-semaine est toujours chargée au parlement, marquée par la période des questions, le conseil des ministres, des réunions au cabinet et le caucus des députés en soirée.
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Dans l’atrium du pavillon d’accueil de l’hôtel du Parlement, entre deux réunions, Bernard Drainville peaufine un discours qu’il enregistrera devant caméra pour les jeunes et le personnel scolaire qui s’investissent dans l’organisation de Secondaire en spectacle.
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Après le conseil des ministres, Bernard Drainville reste quelques minutes de plus dans l’édifice Honoré-Mercier pour rencontrer le premier ministre François Legault dans son bureau. Les deux hommes résument les informations clés dont ils souhaitent faire part au premier ministre français Gabriel Attal, de passage à Québec jeudi et vendredi.
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François Legault pose à son ministre de l’Éducation des questions concernant la construction et la rénovation d’écoles. Dans ce qui ressemble à une séance photo plutôt qu’à une réunion de travail, Bernard Drainville rappelle les investissements faits par la CAQ depuis son arrivée au pouvoir pour rajeunir le parc immobilier scolaire.
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Jeudi et vendredi : jours de visite du premier ministre de la République française, Gabriel Attal, au Québec. Jeudi soir, M. Attal prononce un discours au Salon bleu, dans lequel il vante les mérites de la laïcité. L’ancien père de la Charte des valeurs, Bernard Drainville, applaudit chaudement. Vendredi matin, M. Attal visite l’école de l’Ancrage, dans le secteur Charlesbourg à Québec, l’une des nouvelles écoles construites par le gouvernement.
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Vendredi après-midi. Après une semaine chargée, Bernard Drainville se permet malgré tout un bain de foule aux Galeries Chagnon, à Lévis. Il en profite pour magasiner des chaussures et discuter avec les personnes qui flânent dans l’aire de restauration.
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En fin de journée, avant de retourner chez lui, le ministre de l’Éducation fait un détour par le Collège de Lévis pour remettre des certificats à des élèves qui ont participé au Parlement des jeunes, à l’Assemblée nationale. Santiago Proteau Sanchez est l’un d’eux. Il aimerait un jour devenir politicien et effectuer un stage auprès de M. Drainville à son bureau de circonscription.