Malgré quelques irritants, c'est un très bon film.
Certains personnages sont parfois sous-titrés, parfois doublés... C'est agaçant...
Coco Douglas Léopold passe pour un saint...
On retrouve un Bastien Lavallée au sommet de la gloire pendant quelques minutes. j'aurais aimé une démonstration de son ascension. Mais bon...
Pour terminer, les deux danseurs italiens ne parlent pas un mot de français, sont donc doublés du début à la fin et le garçon ne sait visiblement pas danser!!! Hum????
En 1976, alors que Montréal vibre au rythme du disco, sept hommes et femmes tentent de profiter au maximum de cette mode éphémère. Animateur-vedette, Bastien est le roi incontesté du Starlight, un populaire club de danse où Jonathan, un potineur flamboyant, dicte les tendances. Propriété du gérant d'artistes Gilles Lefebvre, le Starlight est officiellement au nom de son fils Daniel, qui l'a fondé en 1973. Or, malgré ses succès, le jeune homme est traité avec un profond mépris par son père. Celui-ci n'a guère plus d'égards pour Mimi, une ex-star du yéyé réduite au bien-être social, qu'il refuse d'aider à faire un retour sous le signe du disco. Doué pour la danse, Tino, un Italo-Québécois peu intéressé à travailler au restaurant de sa mère veuve, brille un soir sur la piste du Starlight au bras de sa petite amie. Ce qui vaut au couple une apparition à l'émission de Bastien, ainsi que l'attention de Jonathan, sensible aux charmes de Tino. Pendant ce temps, Bastien, bien que marié et père d'une petite fille, tombe amoureux d'Adriana, une ex-mannequin aux ambitions de chanteuse, qui précipite sa chute.
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