Toutes les deux semaines, une personnalité nous présente ses idées pour terminer le week-end en beauté.

N’allez pas sonner chez Pierre-Yves Lord le dimanche, il préfère rester tranquille ! Pour l’animateur, le dimanche, c’est sacré, et c’est surtout le moment de ralentir et de faire la grasse matinée.

« C’est comme si j’avais envie d’hiberner le dimanche, quelle que soit la saison ! », dit-il en riant. Pas de brunch surprise ni de folles aventures, donc, pour celui qui est pourtant très sociable et d’un tempérament chaleureux. Mais avec son rythme de vie entre Montréal et Québec, le dimanche est une journée où il reprend son souffle, en famille, avec sa conjointe et leurs deux enfants, Édouard, 13 ans, et Olivia, 10 ans.

« Je fais des allers-retours entre Montréal et Québec la semaine, mais mes week-ends sont à Québec, à la maison, avec les enfants, mon petit spa dans ma cour et un peu de jeux vidéo ! »

Le dimanche, c’est sacré

Le dimanche, Pierre-Yves Lord ne prévoit rien. Il peut y avoir les activités sportives de ses enfants comme des matchs de soccer, des entraînements de hockey ou encore de la gymnastique, mais sinon, pas de soupers, ni de brunchs, ni de balades à la montagne ou à l’île d’Orléans. « Ma vie professionnelle est très active et agitée pendant la semaine, celle de ma blonde aussi, qui est professeure au secondaire, alors le dimanche, j’ai envie que ce soit très mollo. Je suis très au ralenti, on se repose, admet-il. On peut improviser une petite soirée d’huîtres entre nous, car on aime beaucoup aller à la poissonnerie des Halles de Sainte-Foy, et mon fils adore les huîtres ! À Montréal, je fréquente la poissonnerie Falero. »

Consultez le site de la poissonnerie des Halles de Sainte-Foy Consultez le site de la poissonnerie Falero

Les bienfaits du fleuve Saint-Laurent

L’animateur aime bien faire une sortie sur le fleuve Saint-Laurent. « J’ai une petite chaloupe de pêche qui est sur le fleuve à Lévis. Sur le bord du quai, j’ai la vue sur le Château Frontenac. J’aime contempler la beauté du fleuve et voir les couleurs qui changent à l’automne, c’est magnifique. Si la famille ne veut pas me suivre, j’y vais seul. J’ai l’impression d’être apaisé par le fleuve. La plongée sous-marine fait partie de ma vie, même si en ce moment je plonge moins, mais j’aime pouvoir garder ce contact privilégié avec l’eau et pouvoir contempler Québec du fleuve Saint-Laurent. C’est mon secret bien gardé, j’y emmène aussi mes amis. Il est beau, notre fleuve, et on l’aime ! »

La magie du spa

Le dimanche, Pierre-Yves Lord se lève tard, va jouer quelques parties de jeux vidéo avec son fils, et en cette saison, il allumera un feu, dehors, dans sa cour. Ensuite, il y a l’option spa : « On s’est offert un petit spa et on adore ça ! L’hiver, avec ma blonde et les enfants, dans la cour, on se retrouve à quatre dans le spa ! Le soir, on regarde le ciel et on a l’impression qu’on joue un tour à l’hiver, car même s’il fait -10 degrés, qu’il y a quelques flocons qui tombent, on est heureux ! Ce sont vraiment des moments magiques ! »

Pizza à Sillery

Il ne cuisine pas beaucoup, alors quand il doit s’occuper du souper, il aime bien aller chercher une pizza chez Pizza Mag, rue Maguire, dans le quartier Sillery. « On apprécie particulièrement la Parmentière avec des pommes de terre ! La rue Maguire est une jolie rue à Sillery, qui est un peu le Saint-Lambert de Québec. C’est un quartier avec de grands arbres, de belles rues et de belles maisons, et c’est là qu’il y a la meilleure pizzeria de Québec ! Le choix de pizza est vaste et toute la famille apprécie ! C’est une bonne adresse. »

Consultez le site de Pizza Mag

Le pouvoir de la souffleuse

« Ce qui marque mon entrée dans la vie d’adulte et de papa de banlieue de Québec, c’est la souffleuse électrique ! », dit-il en riant. À l’écouter parler, s’il y avait une épreuve de souffleuse aux Jeux olympiques, il gagnerait la médaille d’or. « Je la passe de manière presque maladive ! J’adore ça ! J’ai déjà préparé mes outils pour déglacer la terrasse, je suis très fier, je déneige la cour arrière avec ma souffleuse, et je dois dire qu’il y a quelque chose de méditatif. J’écoute des podcasts en même temps, ça me détend. À la fin de l’hiver, en soufflant la neige, je me rapproche ainsi du printemps, je profite de la cour arrière plus tôt dans la saison, et j’ai alors l’impression d’être plus fort que la nature… ! »