Avec l'hiver dans quelques mois, le nombre d'acariens et d'allergènes domestiques augmentera à partir du moment où nous fermerons les fenêtres et actionnerons le chauffage central. Pendant l'hiver, d'autres substances, telles que les produits de desquamation d'animaux de compagnie, les moisissures, les bactéries et autres allergènes retrouvés dans la poussière, peuvent s'accumuler et circuler dans toute la maison, déclenchant les systèmes immunitaires des personnes sensibles à ces polluants.

Avec l'hiver dans quelques mois, le nombre d'acariens et d'allergènes domestiques augmentera à partir du moment où nous fermerons les fenêtres et actionnerons le chauffage central. Pendant l'hiver, d'autres substances, telles que les produits de desquamation d'animaux de compagnie, les moisissures, les bactéries et autres allergènes retrouvés dans la poussière, peuvent s'accumuler et circuler dans toute la maison, déclenchant les systèmes immunitaires des personnes sensibles à ces polluants.

 Toutes les nuits, vous partagez votre lit avec plus de 10 000 acariens et microorganismes dus à la poussière. Minuscules, ces petites créatures rampantes s'alimentent de la peau humaine. Bien que les fèces d'acariens et les résidus corporels soient invisibles à l'oeil nu, ils sont l'allergène numéro un au monde dans l'environnement familial et peuvent engendrer des effets sur la santé de plus de deux millions de Canadiens (dont 10 à 15 p. cent des enfants) souffrant d'asthme et d'allergies.

 Selon le Dr Bruce Mazer, de l'Hôpital de Montréal pour enfants, «40 à 60% des asthmatiques allergiques sont allergiques aux acariens.»

 Des petits gestes comme laver les draps chaque semaine, passer l'aspirateur minutieusement et acheter un matelas à l'épreuve des allergènes, réduisent la population des acariens.