L'an passé, le produit y était. Il suscitait déjà de l'intérêt. Cette année, il triomphait.

L'an passé, le produit y était. Il suscitait déjà de l'intérêt. Cette année, il triomphait.

«Il ne se colle pas. On le dépose sur une surface plane. Sa lourdeur fait le reste», déclare au Soleil le président de Distributions Jacques-Cartier, Pierre Dion.

Le couvre-plancher procède d'une technologie européenne. Du PVC est fondu dans un canevas de fibre de verre et fini mécaniquement eu égard à son apparence et à sa texture dont la nature originale est commandée par M. Dion.

D'un autre côté, plaide ce dernier, il est robuste, très résistant à l'eau et à l'humidité. Enfin, il ne se dilate ni ne se contracte tandis qu'il a de grandes propriétés insonorisantes.

Si vous allez chez votre marchand de revêtements de plancher, pour peu qu'il en soit concessionnaire, priez-le de vous faire voir le couvre-plancher. «Car il n'y est pas toujours en évidence», dit M. Dion.

On dénombre des dépositaires de Portneuf à Sept-Îles, de Lévis à Gaspé en passant par la Beauce, les Bois-Francs, L'Amiante, Lotbinière. Puis, au Saguenay-Lac-Saint-Jean, sans oublier Edmunston et plusieurs localités du Nouveau-Brunswick.

Prix au pied carré: 2,50 $ à 3 $. Distributions Jacques-Cartier exploite trois entrepôts, l'un à Matane où se trouve du reste son siège social, les autres à Québec et à Montréal.

Son chiffre d'affaires annuel dépasse les 5 millions $.

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Renseignements: 1 800 463-2449