Ce n’est un secret pour personne, le marché immobilier devient de plus en plus miné pour les jeunes premiers acheteurs.

En glissant sa loupe sur ce phénomène grandissant, l’agence Point2 a mené une étude nationale, observant particulièrement la différence de situation entre un couple et un acheteur seul, mesurant l’effort économique à fournir dans ces deux cas de figure. Le tableau est assez contrasté, certaines villes-clés présentant un défi bien plus grand pour de premiers acheteurs célibataires que pour les couples.

Quand on se compare, on se console : c’est l’Ontario et la Colombie-Britannique qui présentent les villes où la différence est la plus grande. À Richmond Hill, par exemple, un célibataire devra épargner 48 ans de plus qu’une paire de tourtereaux ! De l’autre côté du spectre, c’est plutôt l’Alberta et le Québec qui font bonne figure. À Lévis, la différence de temps d’épargne pour un premier achat immobilier est seulement d’un an et dix mois entre couples et personnes seules. Parmi les 10 villes où l’écart est le plus mince, on retrouve également Saguenay, Québec et Gatineau. Moralité : sur le marché immobilier, mieux vaut être célibataire au Québec qu’en Ontario…

Consultez l’étude de Point2 (en anglais)