L’actualité bouge vite. Retour sur des évènements marquants de la semaine, histoire de vous faire une tête à temps pour vos soupers du week-end.

La ville est Dune

PHOTO CHANTAL ANDERSON, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES

Denis Villeneuve et Timothée Chalamet seront de passage à Montréal la semaine prochaine pour une présentation spéciale de Dune 2.

Le réalisateur québécois Denis Villeneuve sera à Montréal la semaine prochaine pour une présentation spéciale de Dune : Part Two, en compagnie de l’acteur Timothée Chalamet, ce qui ne manquera pas d’attirer les foules. Le film, très attendu, suscite d’ailleurs un concert d’éloges chez les critiques de cinéma. « Denis Villeneuve, sans surprise, se surpasse avec ce haletant deuxième volet aux accents mystiques », écrit la journaliste Manon Dumais. Après avoir imposé « magistralement » sa vision de l’univers de Frank Herbert dans le premier volet sorti en 2021, Villeneuve « signe une suite encore plus spectaculaire », ajoute-t-elle. Le film qui met aussi en vedette Zendaya et Javier Bardem prendra l’affiche le 1er mars.

Lisez la critique de Manon Dumais

La violence en hausse chez les couples adolescents

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

La violence semble en hausse au sein des couples adolescents.

La violence semble en hausse au sein des couples adolescents. « Ça a énormément augmenté, surtout avec les réseaux sociaux et tout ce qui est internet », a déclaré Valérie Désaulniers, intervenante jeunesse à la maison La Passe-R-Elle, à la journaliste d’enquête Gabrielle Duchaine. Des jeunes traquent ainsi leur partenaire par l’entremise de leur cellulaire ou menacent de publier des photos intimes quand ils craignent d’être éconduits… « Ils sont naïfs un peu, ils ne s’en rendent pas compte que c’est du contrôle », ajoute Mme Désaulniers. En plus de témoignages troublants, ce dossier propose une série de conseils à suivre si vous soupçonnez qu’un jeune de votre entourage est victime de violence dans son couple.

Lisez le dossier de Gabrielle Duchaine

Téléphones usagés : moins chers, mais pas sans risques

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Acheter un cellulaire de seconde main permet parfois d’économiser des centaines de dollars… mais personne n’a envie de se retrouver avec un téléphone qui fonctionne mal ou qui brise dans le temps de le dire.

Acheter un cellulaire de seconde main permet parfois d’économiser des centaines de dollars. Pas étonnant alors que le marché des appareils usagés soit en pleine expansion. Des revendeurs comme SecondCell ont vu leur chiffre d’affaires exploser. Or, personne n’a envie de se retrouver avec un téléphone qui fonctionne mal ou qui brise dans le temps de le dire. Bon à savoir : la garantie légale continue de s’appliquer, même si un téléphone change de propriétaire. N’empêche, mieux vaut être prudent, surtout si l’achat se fait auprès d’un particulier, rapporte le journaliste Karim Benessaieh, qui présente des conseils précis à suivre au moment de choisir son (presque) nouveau téléphone.

Lisez l’article de Karim Benessaieh

Grogne autour des poêles à bois

PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Selon les autorités de santé publique, le chauffage résidentiel au bois causerait jusqu’à 1400 décès chaque année au Québec.

Pour beaucoup, le poêle à bois ou le foyer est synonyme de détente et de bon temps. Pour d’autres, le feu et sa fumée riment plutôt avec asthme et difficultés respiratoires. Selon les autorités de santé publique, le chauffage résidentiel au bois causerait même jusqu’à 1400 décès chaque année au Québec. Faudrait-il maintenant être considéré comme un ennemi public parce qu’on allume un feu de foyer ? se demande le chroniqueur Philippe Mercure. Si les particules fines émises par la combustion de bois représentent un problème de santé publique largement sous-estimé, l’heure est à la conversation et à la sensibilisation, estime-t-il.

Lisez la chronique de Philippe Mercure

Les réfugiés ukrainiens pourront-ils rester ?

PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE

Kateryna Kotliar, réfugiée ukrainienne installée à Montréal

Accueillis dans un élan de solidarité par milliers au pays depuis deux ans, dont 17 000 au Québec, de nombreux réfugiés ukrainiens ont refait leur vie ici. Or, tandis que la guerre en Ukraine entre ce samedi dans sa troisième année et que rien n’annonce la fin des combats, nombre d’entre eux se demandent s’ils pourront rester ici… ou s’ils devront retourner vivre sous la menace des bombes russes. L’incertitude règne en effet quant au renouvellement des permis de travail qui leur ont été accordés. La journaliste Suzanne Colpron fait le point, au moment où de nouveaux réfugiés affluent pour se prévaloir du programme du gouvernement canadien avant la date limite du 31 mars.

Lisez le dossier de Suzanne Colpron