Le peintre Henry Daniel Thielcke représente un mystère pour les historiens de l’art. Cet artiste talentueux, dont la carrière s’est déroulée en partie à Québec durant une vingtaine d’années, a laissé de nombreuses toiles en héritage, mais bien peu d’informations sur sa personne. Pour l’ex-journaliste et professeur à l’UQAM Patrick White, son histoire atypique, du moins ce que l’on en sait, méritait de faire l’objet d’une vaste enquête dont la publication d’un livre représente l’aboutissement.

Thielcke (1788-1874) habite Patrick White depuis un bon moment. En 2007, David Karel, historien de l’art et professeur à l’Université Laval, lui avait remis, peu avant sa mort, un dossier sur la vie du peintre, dans l’espoir qu’il poursuive son travail. Son étudiante Annie Fraser, morte prématurément également, avait elle aussi développé une passion pour l’artiste. Les recherches des deux disparus, laissées en plan, ont servi pour la suite des choses.

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