L’actualité bouge vite. Retour sur des évènements marquants de la semaine qui animeront sans doute votre week-end.

Peut-on rêver aux séries ?

PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE

Le Canadien fera-t-il les séries cette année ?

Le mois de septembre revient avec ses rituels. Les enfants rentrent à l’école, on met les tomates en pots… et le Canadien de Montréal tient son fameux tournoi de golf annuel. Alors, va-t-il faire les séries cette année ? Quoi ? Vous attendiez que les grands patrons du club utilisent le mot en P, pour « playoffs » ? Pas si vite ! La direction de l’équipe préfère le mot « croissance ». Une approche prudente qui ne plaît pas à tous les amateurs. Ces textes des collègues de la section des Sports vous éclairent ici au sujet des attentes réalistes… et souhaitables pour la saison qui vient.

Lisez l’article « La “croissance” à la mode, les séries à l’index »
Lisez la chronique « Des attentes modestes, encore une fois » d’Alexandre Pratt

Ces appareils qui flanchent trop vite

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Devant un lave-vaisselle qui flanche après trois ans, on veut tous croire à cette stratégie diabolique qui fait rouler l’économie en nous appauvrissant, l’obsolescence programmée.

Lorsqu’un appareil nous fait faux bond, la discussion tourne rapidement autour de cette question : est-il normal qu’on doive remplacer un lave-vaisselle après seulement trois ans ? Et on évoque invariablement ces appareils quasiment indestructibles d’une autre époque. Or, il faut se lever très, très tôt pour prouver l’obsolescence programmée. C’est un peu comme chercher le yéti, a constaté la chroniqueuse Marie-Eve Fournier en discutant avec un professeur qui s’est penché sur cette question qui nous préoccupe tous. Voici son texte qui va au-delà de nos impressions et qui nous permettra d’ajouter des données concrètes à la conversation.

Lisez la chronique « Le yéti, Memphré et l’obsolescence programmée » de Marie-Eve Fournier

Pour en finir avec les « no show »

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Les restaurateurs devraient-ils imposer une pénalité d’environ 20 $ à ceux qui annulent leur réservation moins de 24 heures à l’avance (ou qui ne se présentent tout simplement pas) ?

Si vous mangez au restaurant ce week-end, il est possible qu’une table réservée près de vous reste libre. Près d’une réservation sur cinq n’est pas honorée, indique un rapport de la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante. Les restaurateurs devraient-ils imposer une pénalité d’environ 20 $ à ceux qui annulent leur réservation moins de 24 heures à l’avance (ou qui ne se présentent tout simplement pas) ? Les propriétaires d’établissement sont nombreux à le souhaiter, a rapporté cette semaine notre collègue Nathaëlle Morissette. Le phénomène des « no-show » les amène à réclamer un changement à la Loi sur la protection du consommateur.

Lisez l’article « À quand l’imposition d’une pénalité ? »

La crise que personne ne peut ignorer

PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE

Un campement de fortune érigé par des sans-abri à Gatineau

La crise de l’itinérance fait beaucoup parler d’elle ces jours-ci, à Montréal mais aussi à Québec, à Gatineau et dans de nombreuses autres villes. Beaucoup d’avis se font entendre sur les solutions à mettre de l’avant pour contrer la hausse fulgurante du nombre de sans-abri. Or, pour se faire une tête sur la question avant d’en débattre avec vos convives, ça vaut le coup de revenir sur le constat fait lors du plus récent dénombrement, effectué le 11 octobre dernier. Cette nuit-là, des centaines de personnes ont dénombré 10 000 sans-abri au Québec, dont près du quart se sont retrouvés à la rue après avoir été expulsés de leur logement.

Lisez l’article « L’itinérance a bondi de 44 % en cinq ans au Québec »

Un vaccin avec ça ?

PHOTO ANGELA WEISS, AGENCE FRANCE-PRESSE

Santé Canada a approuvé cette semaine la mise à jour du vaccin de Moderna, qui protège contre le sous-variant XBB.1.5 d’Omicron.

Un dernier sujet pour conclure votre souper du samedi soir… mais qui n’a rien d’un dessert. C’est un sujet dont personne n’a vraiment envie de discuter, mais qui s’avère assez incontournable avec le retour de l’automne et… la hausse des cas. Santé Canada a approuvé cette semaine la mise à jour du vaccin de Moderna, qui protège contre le sous-variant XBB.1.5 d’Omicron. Les responsables de la Santé publique fédérale recommandent aux Canadiens de recevoir cette version du vaccin, pourquoi pas en même temps qu’une dose annuelle de vaccin contre l’influenza. Pour l’instant, Québec compte offrir le vaccin à jour en priorité aux personnes vulnérables, comme celles âgées de 60 ans et plus.

Lisez l’article « Santé Canada approuve la mise à jour du vaccin de Moderna »