Célébrer la messe malgré tout
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PHOTO BERNARD BRAULT, LA PRESSE
C’est bientôt l’heure de la messe de 9 h. Le curé Mangongo dépose sur l’autel le missel.
Il s’assure que tout est en place avant la cérémonie. -
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Charles Mangongo enfile son vêtement liturgique.
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Afin d’assurer la sécurité des croyants et d’éviter qu’ils ne s’assoient sur n’importe quel banc, des rubans jaunes ont été installés. Des bénévoles conduisent les fidèles vers leur place.
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D’une capacité de plus de 1500 personnes, l’église peut en ce moment en accueillir seulement 250. Seuls les membres d’une même famille peuvent partager le même banc.
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En ces temps incertains, quelques croyants assistent à la messe afin de trouver du réconfort dans ce lieu de culte.
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La communion se fait de main en main avec grande précaution, bras tendu. Tout le monde est bien évidemment masqué.
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Pandémie ou pas, l’église reste un lieu de rassemblement où les fidèles ont l’occasion de faire un brin de jasette. En raison de la situation actuelle, les salutations se font à distance.
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Le prêtre discute avec des bénévoles après la messe.
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Tout a été pensé pour éviter la propagation du virus : les bénévoles désinfectent chaque banc entre deux messes.
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La cocathédrale se nomme ainsi parce qu’il s’agit de la deuxième église en importance dans le diocèse de Saint-Jean–Longueuil.