(Cap-à-l’Aigle) Il y a des centaines de millions d’années, une météorite a frappé de plein fouet le Québec, sculptant du même coup le paysage dentelé de Charlevoix. Au pourtour du cratère nouvellement formé, un paysage en terrasses a émergé. C’est sur ces promontoires de La Malbaie qu’est installé Teracea, à flanc de montagne d’où le domaine profite d’une vue incomparable sur le fleuve et les environs.

Aux villas luxueuses de Teracea – dont plusieurs sont signées par des pointures de l’architecture au Québec – s’ajoute cet été Le Hameau, un secteur composé d’aires communes et de maisonnettes où se détendre en couple ou en solo.

La nouvelle zone de loisirs est destinée à tous les occupants de Teracea, y compris les propriétaires et locataires des habitations de luxe, situées à Cap-à-l’Aigle. Elle comprend une grande piscine, un terrain de tennis et une salle communautaire qui viennent parfaire un domaine conçu comme un petit village de villégiature à la signature contemporaine unique. Tous les bâtiments et installations, sans exception, y offrent un panorama à 180 degrés sur un fleuve qui s’ouvre à l’infini.

PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, LA PRESSE

On retrouve les accents de bois de l’extérieur à l’intérieur.

Rustiques et épurées, mais des plus douillettes, les maisonnettes se fondent dans l’environnement grâce à un revêtement de bûches superposées qui leur confère un look inusité. On retrouve les mêmes accents de bois à l’intérieur, où cette coquetterie injecte une belle chaleur dans le décor.

  • Les maisonnettes se fondent dans leur environnement.

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    Les maisonnettes se fondent dans leur environnement.

  • Les maisonnettes sont équipées de toutes les commodités.

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    Les maisonnettes sont équipées de toutes les commodités.

  • Un bain sur pattes où se prélasser longtemps

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    Un bain sur pattes où se prélasser longtemps

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Ces petites maisons sont positionnées de manière à offrir une totale intimité. On aura l’impression d’être seul au monde dans ces cocons, malgré la présence de voisins et le fait qu’une façade, orientée vers le fleuve, soit entièrement vitrée.

Le contact avec la nature et l’étendue d’eau y est constant. Le sentiment d’espace et de calme, omniprésent. Aucune voiture ne pénètre d’ailleurs dans Le Hameau, cela pour préserver la tranquillité et la beauté des lieux.

L’« ennui » est qu’on hésitera peut-être à quitter cette parfaite retraite de Cap-à-l’Aigle pour aller découvrir la région, faire du kayak de mer, explorer les pentes du mont Grand-Fonds, marcher sur la plage ou dans les sentiers pédestres... C’est un risque qu’on voudra bien prendre.

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La piscine de Teracea offre une vue incroyable sur le fleuve.

Le bien-être façon boréale

La piscine – quelle piscine ? – est subtilement dissimulée dans l’environnement. Il faut emprunter la tourelle et descendre plusieurs marches pour y accéder. De la grille d’entrée, la réaction de surprise est spontanée. La perspective est inattendue : le bassin d’eau est entouré de cubicules en bois récupéré où l’on peut se livrer à un farniente en toute docilité. Dans un coin, un grand foyer réchauffe l’ambiance en soirée.

L’endroit incarne un exotisme nordique qui n’a rien de froid ou de sévère. On y paressera au contraire comme dans un tout-inclus, en marinant dans la piscine tout en s’éblouissant d’une telle perspective sur le joyau de la province.

  • La Commune s’inspire des lignes des granges.

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    La Commune s’inspire des lignes des granges.

  • L’espace piscine entouré de cubicules où flâner en toute tranquillité

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    L’espace piscine entouré de cubicules où flâner en toute tranquillité

  • Un espace à soi qui assure une certaine intimité

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    Un espace à soi qui assure une certaine intimité

  • L’intérieur convivial de La Commune, qui peut accueillir des groupes et des traiteurs avec sa cuisine équipée.

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    L’intérieur convivial de La Commune, qui peut accueillir des groupes et des traiteurs avec sa cuisine équipée.

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Plus haut, les amateurs de sport s’échangent la balle sur un grand terrain de tennis. Non loin, un coin barbecue communautaire et des salons extérieurs couverts sont mis à la disposition des clients devant La Commune. Ce bâtiment aux allures de grange évoque l’endroit où, jadis, les paysans se rencontraient au bord du ruisseau pour abreuver le bétail, raconte l’entrepreneur Alain Rajotte, l’un des deux promoteurs à la tête de Teracea. L’endroit abrite une salle évènementielle au décor convivial, qui ouvrira ses portes aux groupes d’entreprises dès l’automne.

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Le tennis du Hameau

L’appel du large

L’histoire de Teracea commence en 2005. Alain Rajotte rénove et construit des immeubles dans la métropole avec son partenaire d’affaires, Florent Moser. Il rêve toutefois d’exil. « Je me suis dit : et si on construisait des maisons dans le bois ? » L’idée plaît. Le tandem commence à explorer la région. Sur un coup de tête, il met la main sur un premier terrain de 45 acres à Saint-Fidèle et y construit trois maisons dans l’idée de les louer. Le concept attire l’attention.

Deux ans plus tard, il fait l’acquisition d’un boisé quatre fois plus grand à Cap-à-l’Aigle pour en faire un projet immobilier : l’équipe vend des parcelles de terre et propose le service de construction et de location des futures villas architecturales, ainsi que leur entretien : un quasi clés en main pour une clientèle issue principalement de la métropole.

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L’entrepreneur et promoteur à la tête de Teracea, Alain Rajotte

Une première maison, Le Phare, dessinée par la firme montréalaise Mu architecture, est construite en 2010. Ce refuge de luxe, qui porte bien son nom, donnera la direction au reste du projet.

On a eu un raz-de-marée de locations. On apportait quelque chose de vraiment nouveau avec des maisons de qualité de style contemporain.

Alain Rajotte, promoteur à la tête de Teracea

« Seize grandes maisons y sont maintenant à louer, dont le tiers appartient aux promoteurs de Teracea et le reste, à des particuliers », ajoute ce dernier.

Alain Rajotte a depuis fait le saut de la ville à la montagne. L’urbain est devenu riverain et a trouvé son bonheur à 400 km de chez lui. « Moi, j’ai toujours eu besoin de la nature. Ici, c’est la forêt, la montagne, la mer. Il y a de beaux coins autour de Montréal, mais le fleuve... le fleuve ! » Un regard au loin sur le bleu de l’horizon suffit à convaincre qu’il est inutile d’ajouter des mots : le fleuve, oui...

Consultez le site de Teracea