Après le crabe des neiges et les crevettes nordiques, c'est au tour du homard d'avoir son heure de gloire auprès des affamés de pêches locales.
Homard d'ici, saveurs d'ailleurs
Les restaurants d’ici sont bien créatifs quand vient le temps d’apprêter le homard. Car les produits locaux peuvent tout à fait se marier avec les saveurs d’autres horizons.
Lisez le dossier d'Ève DumasBisque à boire
Boire son homard ? Pourquoi pas ! Aucun ingrédient n’est interdit en mixologie de nos jours. Et s’il y a un barman au Québec pour créer des cocktails à partir d’aliments inattendus, c’est bien Émile Archambault. Dans son nouveau bar situé sous le HENI, le Badin, il ne se gêne pas pour jouer avec de la moutarde « baseball », de la tomate clarifiée et des fleurs.
Lisez l'article d'Ève DumasCritique resto : Viva le Vivar !
À travers les bons coups et, parfois, les moins bons, nos critiques de restaurants vous racontent leur expérience, présentent l’équipe en salle et en cuisine, tout en expliquant ce qui a motivé le choix du restaurant. Cette semaine, Bar Vivar, un petit nouveau de l’avenue Duluth où on voudra se poser tout l’été durant pour voyager en Espagne sans quitter le Plateau.
Lisez l'article d'Ève DumasLes vins de la semaine
Pour accompagner du homard, le vin blanc semble incontournable. Ce n’est pas qu’une question de préférence, même si les accords mets-vins sont très subjectifs. Les poissons, et encore plus les crustacés, ont tendance à décharner le vin rouge, à faire disparaître son fruit et à exacerber ses tanins. Pour certains, le vin prendra même un goût métallique fort désagréable. Voici donc deux blancs et un rosé pour accompagner vos plats de homard. Si vous tenez mordicus au rouge, choisissez un gamay tout en fruit et dénué de tanins.
Lisez l'article de notre collaboratrice, la sommelière Véronique RivestLes fleurs de lilas parfument délicatement les airs au printemps, mais infusent aussi leur douceur à table. La cheffe et propriétaire de la ferme Bika, Fisun Ercan, nous explique comment elle utilise cette plante qu’elle affectionne.
Lisez l'article de Sylvain Sarrazin