Quoi voir cette semaine ? Voici nos critiques des derniers films sortis en salle ou sur une plateforme.

Maestro : Bradley Cooper en pleine maîtrise

« L’acteur et cinéaste Bradley Cooper confirme grâce à son deuxième long métrage, Maestro, si ce n’était déjà fait, qu’il n’est pas qu’un énième acteur avec de vagues aspirations de réalisateur, mais bien un cinéaste de grand talent », écrit notre chroniqueur Marc Cassivi.

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Le garçon et le héron : Le dernier legs d’un géant

« Il s’agit, à l’image de l’ensemble de la filmographie de Miyazaki, d’un film d’une inventivité stupéfiante et d’une imagination sans borne, assez fort pour nous (les adultes), mais conçu pour eux (les enfants), pour emprunter la formule d’une campagne de pub de déodorant des années 1980. Le garçon et le héron n’est peut-être pas à classer parmi les chefs-d’œuvre de Miyazaki au même titre que Mon voisin Totoro ou Le voyage de Chihiro, mais c’est une pierre tout aussi précieuse dans l’édifice d’une filmographie remarquable. Le dernier legs d’un géant immortel », écrit notre chroniqueur Marc Cassivi.

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Monster : Jeux innocents

« Depuis la mort de son mari, Saori (Sakura Ando) élève seule son fils unique Minato (Soya Kurokawa). Or, depuis quelque temps, le comportement du jeune garçon l’inquiète de plus en plus. Ce dernier lui pose des questions à propos d’un homme qui serait devenu monstrueux après qu’on lui eut greffé le cerveau d’un porc », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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Mademoiselle Kenopsia : Tuer le temps

« Tandis qu’elle erre dans les pièces d’un édifice abandonné, une jeune femme s’interroge sur notre rapport au temps et à l’espace ainsi que sur le sens de l’existence », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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Caravage : D’ombre et de lumière

« L’acteur italien Michele Placido a remis son chapeau de réalisateur pour raconter l’histoire fascinante et décadente du Caravage. Avec brio, le cinéaste insuffle un vent de modernité à ce drame historique. Même si sa mise en scène demeure assez classique, le jeu, la photo, les costumes et la direction artistique de son Caravage sont impeccables », écrit notre journaliste Luc Boulanger.

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Eileen : Mauvaise influence

« Vivant seule avec son père, Jim Dunlop (Shea Whigham), ex-policier veuf, alcoolique et paranoïaque, Eileen (Thomason McKenzie, savant mélange de naïveté et de perversité) travaille comme secrétaire dans un centre de détention pour jeunes délinquants où elle encaisse chaque jour les commentaires désobligeants de ses consœurs. Lasse de son morne quotidien, Eileen s’évade dans ses fantasmes sexuels et morbides – ce qui donne lieu à des scènes tantôt hilarantes, tantôt choquantes », écrit notre journaliste Manon Dumais.

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