Lieutenant d’une organisation criminelle, Ismaël Tayeb se voit confier une mission à haut risque : trouver une pile nucléaire, rien que ça.

Pour y arriver, il va devoir remettre en marche le dernier Atlas non démantelé, un robot titanesque conçu par la France dans les années 60.

Non loin de là, en plein désert, l’équilibre du monde semble sur le point de basculer sur le lieu d’une catastrophe nucléaire passée.

Le premier tome de cette ambitieuse série uchronique est porté par un souffle singulier. On y multiplie les intrigues, entre politique internationale, guerre de gangs et périls environnementaux.

Un polar haletant qui nous happe complètement, fruit du travail d’un quatuor de créateurs nantais.

★★★½ Le dernier Atlas – Tome 1. Vehlmann, De Bonneval, Tanquerelle et Blanchard. Éditions Dupuis. 232 pages.