Sergei Bobrovsky a repoussé 34 rondelles et Nick Foligno a marqué deux fois en troisième période pour guider les Blue Jackets de Colombus vers un gain par le score de 4-2, lundi soir, aux dépens des Ducks d'Anaheim.
Ryan Johansen, en première période, et R.J. Umberger, tard au deuxième vingt, ont enregistré les autres buts des Blue Jackets, qui affichent un dossier de 11-0-3 depuis le 6 janvier. Cette séquence de succès inclut une série de huit victoires, un record d'équipe.
Bobrovsky, le vainqueur du trophée Vézina l'an dernier, présente une fiche de 10-2-0 et une moyenne de buts accordés de 2,17 à ses 12 derniers départs, après avoir raté 14 matchs en raison d'une blessure à l'aine.
Mathieu Perreault et Ryan Getzlaf sont parvenus à déjouer sa vigilance, du côté des Ducks. Le gardien Federik Anderson a bloqué 29 tirs.
Les Ducks présentent une fiche de 4-5-0 depuis le 15 janvier, mais continuent de mener les Blackhawks de Chicago pour le plus grand nombre de points, avec deux matchs à jouer avant la pause olympique.
Les Ducks accueilleront les Blackhawks mercredi soir, soit moins de trois semaines après que les champions en titre de la Coupe Stanley eurent interrompu l'impressionnante poussée de 18 victoires en 19 matchs des Ducks en l'emportant 4-2 au United Center.
Bobrovsky a réalisé son meilleur arrêt du match à 5:25 de la deuxième période, lorsqu'il a sorti la jambe droite au dernier instant pour frustrer Andrew Cogliano, qui s'était échappé à deux contre un avec Corey Perry.
Les Ducks se sont inscrits à la marque à 5:45 du troisième vingt quand Perreault, posté au bord de la zone réservée au gardien, a complété une passe de Patrick Maroon. Ce but réduisait l'avance des Blue Jackets à 2-1.
Mais Foligno a redonné une avance de deux buts aux Blue Jackets au milieu de la période, propulsant le disque par-dessus l'épaule d'Anderson, après que ce dernier eut stoppé un tir d'Umberger venant du coin droit. Foligno a ensuite inscrit son 15e but de la saison, avec 6:53 à écouler, s'emparant d'un retour de lancer alors qu'il restait 17 secondes à une supériorité numérique de deux hommes.