Ce dont Renee Zellweger est la plus fière dans sa carrière d'actrice, c'est de ne pas encore être devenue folle. L'actrice se dit fière de ne pas avoir encore fréquenté le centre (de désintoxication) Betty Ford, mais, ajoute-t-elle, dans les colonnes de Harper's Bazaar, «il ne faut jamais dire jamais trop vite!».

Interrogée sur les succès de sa carrière, l'actrice répond avoir appris à connaître (ses) limites, citant «le fait de n'avoir pas eu à consulter de psychiatre malgré le côté bizarre de ma vie et de mes échanges au quotidien», explique-t-elle.

Car la vedette du Journal de Bridget Jones préfère l'intimité plutôt que les sorties en vue avec ses condisciples de Hollywood.

«Je ne suis pas une fille à faire la bringue. Une fois par an, pour moi, c'est bien suffisant», détaille-t-elle. D'ailleurs, elle estime qu'une soirée idéale à l'extérieur serait par exemple une jolie vraie fête de Noël.

Et l'actrice de 38 ans d'ajouter: «J'aime bien arriver chez les gens quand les festivités ont déjà commencé, quand ils dansent, que la fête bat son plein et que personne ne songe à pointer du doigt l'actrice qui reste toute seule dans son coin».

Renee Zellweger, qui a fait une demande en annulation de son court mariage avec le musicien Kenny Chesnay, déclare ne pas être triste d'être redevenue célibataire. Car, dit-elle, «je suis tellement occupée à rattraper le temps perdu avec les gens qui me manquent quand je travaille, que je n'ai pas de temps à perdre pour une seule personne».