Il y a quelques années, Catherine Hébert avait séduit avec Carnets d'un grand détour, récit initiatique, tourné durant plusieurs mois et sur deux continents, d'un homme en quête d'absolu. Cette fois, sa caméra capte, le temps d'une seule journée, le quotidien d'habitants du Burkina Faso travaillant à la culture du riz.

Son intérêt pour le continent noir se manifeste avec le même regard sensible. À noter que ce court métrage est inclus dans un programme de trois films.

À l'université Concordia (salle J.A. de Sève), ce soir, 18 h 30 ; au Cinéma du Parc, demain, 21 h, dans le cadre des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM)